En Direct
1 min de lecture
Laurent Marcangeli, maire Les Républicains d'Ajaccio, le 6 février 2015
Crédit : PASCAL POCHARD CASABIANCA / AFP
Je m'abonne à la newsletter « Politique »
Emmanuel Macron est attendu en Corse mardi 6 février. Invité de RTL ce 5 février, Gilles Simeoni, le président du Conseil exécutif de Corse a annoncé une crise politique en l'absence de dialogue. "Il ne faut pas sombrer d'entrée de jeu dans le pessimisme", nuance Laurent Marcangeli, maire LR d'Ajaccio. Pour l'édile, il est nécessaire d'attendre les annonces du chef de l'État avant de basculer "dans le catastrophisme et une forme de menace".
"Je fais partie de ceux qui demandent à ce que, si c'est possible politiquement parlant, on ait une réflexion institutionnelle dans le cadre de la fenêtre que le président de la République ouvre pour inscrire la Corse dans la Constitution, nommément à un article 72-5 qui permette à l'avenir d'avoir un certain nombre d’adaptations législatives, voire même d'un pouvoir réglementaire et législatif encadré et donner plus d'autonomie sur un certain nombre de sujets qui ne sont pas régaliens", a-t-il précisé.
Si Laurent Marcangeli souhaite davantage d'autonomie pour la Corse, il affirme ne pas aller dans le sens souhaité par Gilles Simeoni et Jean-Guy Talamoni, "qui eux voudraient que la Corse soit sur un statut d'outre-mer". Pour le maire d'Ajaccio, ce statut "occasionnerait un éloignement des lois de la République".
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte