C’est devenu une habitude,
des perturbateurs viennent interrompre les discours de Donald Trump. Ils
étaient 17 lors du meeting en Caroline du Nord mercredi 9 mars au soir. Au point que l’équipe du milliardaire est obligée de placer des gardes en civil, dans la salle, pour étouffer au plus
vite les contestations. Donald Trump avait déjà promis de payer les frais d’avocat
pour ses sympathisants qui frappent les perturbateurs.
Mais cela dérape de plus en
plus souvent. Après le meeting, un supporter du favori républicain a été arrêté et accusé d’avoir frappé un protestataire noir. Le septuagénaire ne s’est pas
caché, devant une caméra de l’émission Inside Edition, d’avoir aimé frapper
ainsi le jeune homme. "On ne sait pas s’il n’est pas de Daesh (…), la
prochaine fois qu’on le verra, on aura peut-être à le tuer", déclare le vieil homme. La séquence a fait
l’ouverture des journaux télévisés des grandes chaînes.
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