"À Paris, sous l'Occupation, il y avait une forme de légèreté. On chantait la liberté alors qu'on ne l'était pas totalement. Pour moi c'est ça Paris. C'est là où tout est possible, là où on innove." Les propos de Zaz ont suscité la polémique ce week-end.
L'artiste de 34 ans, qui sort un nouvel album intitulé "Zaz chante Paris", s'exprimait dans un entretien au site Pure Charts publié le 11 novembre. Elle a estimé qu'"en France, on se focalise un peu trop sur les choses négatives" avant de donner comme exemple le Paris occupé.
Sur les réseaux sociaux, des internautes ont vivement critiqué la chanteuse.
Le quotidien Libération s'est insurgé, soulignant que "légèreté" n'est pas le mot qui convient pour évoquer l'époque des juifs traqués et du climat de délation qui régnait alors.
D'autres ont volé à la rescousse de Zaz. "La violence des médias... Elle n'est pas historienne !", a écrit Benjamin Biolay sur Twitter.
La chanteuse n'avait pas réagi dimanche à la mi-journée.
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