"Peach", "Stolen"... À quoi servent ces nouveaux réseaux sociaux ?

Après Twitter, Facebook, Snapchat, Instagram et les autres voici venus Peach et Stolen. Peach, donc "pêche" en anglais ne propose rien de révolutionnaire. Il a été créé par le fondateur de Vine le réseau des micro-vidéos. Vous pouvez partager des photos, du texte (sans limite de caractères contrairement - pour l'heure - à Twitter), des vidéos, des .gif (les petites images animées), et aimer les messages de vos contacts. Du côté des nouveautés, vous pouvez aussi dessiner des messages à vos amis, partager votre localisation, partager des informations comme votre nombre de pas effectués etc. Rien de nouveau sous le soleil d'Internet mais Peach rassemble en une application plein de choses que l'on retrouve dans plusieurs autres et ça marche… pour l'instant.

Autre application : Stolen. C'est la bourse version 2.0. Pour y accéder il vous faut un iPhone (l'application n'est accessible que sir iOS), donc, au revoir utilisateurs d'Android. Deuxième barrière, très séduisante : il faut être invité. Une fois dans le monde de Stolen vous pourrez acheter avec un argent virtuel des comptes Twitter par exemple. Les plus populaires coûtent le plus cher et rapportent le plus. Et comme à la bourse, il faudra gérer ses investissements, acheter et ne pas se faire racheter. C'est inutile mais il faut le voir comme un jeu et puis cela permet de faire cette chose malsaine, mais peu sont ceux qui résistent à l'envie de savoir : combien est-ce que je "vaux" et combien "valent" mes amis ?