INVITÉE RTL - Sarah Knafo vante la méthode Trump : "J'espère que bientôt ça marchera en France"

Donald Trump est officiellement devenu le 47e président des États-Unis lundi 20 janvier 2025 au terme d'une cérémonie d'investiture traditionnelle à laquelle ont notamment été invités Eric Zemmour et l'eurodéputée Reconquête Sarah Knafo. Au lendemain de cette cérémonie, elle loue sur RTL la méthode Trump et rappelle le soutien que le chef de son parti aurait apporté au président américain. 

En 2022, Eric Zemmour "avait été le seul candidat qui avait eu une conversation avec Donald Trump. Il était donné pour mort politiquement et je crois que tout était déjà dans leur conversation de la future stratégie que Trump allait adopter et qui allait s'avérer gagnante", explique l'eurodéputée. "Il lui disait : 'Il faut parler directement au peuple, il ne faut pas s'intéresser à ce que vont dire les médias. Les médias vous qualifieront de brutal, de radical, mais gardez votre cap, ça plaira au peuple que vous devez représenter'. On a vu que pour Trump, ça a marché. J'espère que bientôt, ça marchera pour nous en France", poursuit Sarah Knafo.

En France on a trop l'habitude de voir des présidents, à peine élus, qui trahissent déjà leurs promesses. (…) Là c'est tout l'inverse.

Sarah Knafo, eurodéputée Reconquête

Le moment le plus marquant de la cérémonie, selon Sarah Knafo, reste le moment où Donald Trump est venu signer ses premiers décrets devant une foule de citoyens venus assister à la cérémonie. "Ça peut réconcilier les gens avec la politique, une forme de démocratie athénienne où le président exerce ses prérogatives devant les gens, où il leur montre ce que c'est concrètement", estime-t-elle.

"En France, on a trop l'habitude de voir des présidents à peine élus qui trahissent déjà leurs promesses, qui baissent d'un ton à peine arrivés au pouvoir", dénonce Sarah Knafo. "Là, c'est tout l'inverse. À peine arrivé, il vient devant la foule, il sort ses décrets, il les signe. Vous avez le public qui se levait sur chaque signature de décret. Je trouve que c'est beau à voir un peuple qui non seulement se remet à espérer, mais qui voit qu'il n'a pas voté pour rien".