"Harlem Désir restera le fossoyeur du socialisme municipal, un chef d'oeuvre parfois centenaire", explique Éric Zemmour, pour qui l'ancien premier secrétaire du PS affichait "un charisme qui confinait à un ascétisme quasi-religieux et une langue de bois tirée de la forêt amazonienne".
Pour Éric Zemmour, le sort de Harlem Désir était scellé depuis qu'il avait dénoncé publiquement l'expulsion de la jeune Leonarda. "La seule fois où il fut audible", note le chroniqueur, c'était pour attaquer le chef de l'État et le futur Premier ministre.
La période "SOS Racisme" colle à la peau de Harlem Désir. "C'est une image de synthèse fixée dans les années 80 qui est arrivée rue de Solferino", avec pour conséquence la fuite de la classe ouvrière et de la classe populaire.
Pour Éric Zemmour, Harlem Désir se classe dans la catégorie des "gens prédestinés à se trouver là où il ne faut pas être, à faire ce qu'il ne faut pas faire, à parler quand on doit se taire, et à poser des questions quand on attend des réponses et à donner des réponses à côté de la plaque". Bref, c'est le personnage de Bernard Blier dans les Tontons flingueurs, ou Rantanplan dans Lucky Luke.
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte