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Photos volées de Valérie Trierweiler : il faut que "Closer" paie !
CHRONIQUE - "Closer" a publié vendredi dernier de nouvelles photos volées. Il s'agit cette fois de clichés concernant Valérie Trierweiller, partie se reposer quelques jours au soleil. L'ancienne compagne de François Hollande a décidé de porter plainte contre le magazine.
Une personne lisant un numéro de Closer, le 10 janvier 2014, à Paris.
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Les ventes de Closer ont largement bénéficié de l'affaire Hollande-Gayet, bondissant de près de 60% pour les quatre premières couvertures consacrées à ce sujet et atteignant 610.000 exemplaires pour le numéro qui a révélé l'idylle.
Vendredi dernier, Closer a diffusé des photos de l'ex-compagne de François Hollande en maillot de bain sur les plages de l'île Maurice. Valérie Trierweiler a annoncé qu'elle allait déposer une plainte pour "atteinte à la vie privée" contre le magazine.
Qu'est-ce qui légitime ces photos, alors que Valérie Trierweiler n'est plus rien ? Elle a disparu de la scène publique, elle n'a aucune fonction, elle ne s'est pas exprimée de manière à mettre François Hollande en danger. Qu'elle aille se reposer ou pas, franchement nous n'en avons rien à faire ! C'est une affaire totalement privée. Malgré tout, Closer publie des photos en pensant faire de l'argent. On est dans le sordide.
Et l'acte d'achat est aussi minable que l'acte de publication. La justice traite souvent cela à la rigolade. Closer va être condamné à des amendes qui sont déjà provisionnées, et qui ne seront sans doute pas fantastiques. Pour marquer le coup, il faudrait que la condamnation fiscale soit plus importante que d'habitude.