Isabelle Prime, qui travaillait pour une société sous-traitante d'un programme en partie financé par la Banque mondiale, et son interprète yéménite Chérine Makkaoui ont été enlevées le 24 février à Sanaa par des hommes déguisés en policiers alors qu'elles se rendaient en voiture à leur travail, selon leur employeur.
Le président français François Hollande avait alors exigé que leur libération "intervienne dans les meilleurs délais".
Début février, la France et d'autres pays occidentaux avaient fermé leurs ambassades au Yémen. Paris avait alors conseillé à sa centaine de ressortissants de quitter le pays "dans les meilleurs délais". Les intérêts français au Yémen sont depuis assurés par la représentation marocaine dans le pays, selon une source diplomatique française.
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