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"Free sex" : la nouvelle vidéo de Rémi Gaillard divise la toile
VIDÉO - Le spécialiste de la caméra cachée revient avec une nouvelle vidéo dans laquelle il s'amuse à mimer l'acte sexuel avec des inconnues grâce à un simple effet d'optique.
La dernière vidéo de l'humoriste Rémi Gaillard ne fait pas l'unanimité sur la Toile.
Rémi Gaillard a publié, vendredi 28 mars, sa dernière vidéo sur Facebook. Dans "free sex", le spécialiste de la caméra caché fait semblant d'avoir des relations sexuelles avec des jeunes femmes qu'il croise dans la rue, dans le parc ou bien encore au supermarché.
Le tout est mis en scène et en images grâce à un effet d'optique tout simple : jouer sur l'angle de la caméra pour faire croire à une véritable scène de sexe. Un humour très potache qui ne fait pas vraiment l'unanimité sur les réseaux sociaux.
Un sketch qui déchire la toile
Les réactions n'ont pas tardé à pleuvoir sur les réseaux sociaux. Certains internautes trouvent sa vidéo "à se rouler par terre", d'autres se disent indignés. "Beauf" est l'adjectif qui revient le plus sur Twitter pour qualifier Rémi Gaillard.
Sur son blog, Daria Marx dénonce une vidéo empreinte de "sexisme" de "culture du viol" et de "harcèlement de rue". "Ce genre de vidéo entretient l'idée que l'espace public n'appartient pas aux femmes, qu'elles ne font qu'emprunter un passage réservé aux porteurs de testicules", explique-t-elle.
Pour sa défense, Rémi Gaillard rappelle qu'un message d'avertissement précède la vidéo - "soumise à une limite d'âge sur Youtube".
Message d'avertissement
Crédit :
Et le spécialiste de la caméra cachée fait de l'humour sur les critiques qui lui sont adressées : "J'ai essayé de la mettre sur You Porn, mais elle a été retirée car elle ne comporte aucun des caractères suivats: zizi, foufoune, fellation, seins, orgasmes, levrette, brouette, quéquette", explique-t-il sur Facebook.
Cette polémique permet néanmoins à Rémi Gaillard d'engranger les vues sur Youtube - 2.694.732 - et de faire oublier l'incroyable revers qu'il vient de subir au cinéma. Son film N'importe qui, a difficilement passé la barre des 100.000 entrées.
