1 min de lecture
Logement étudiant : il n'est pas trop tard pour obtenir une place en Crous
Les candidats qui avaient fait une demande de logement Crous et qui n'ont pas reçu leur affectation sur Parcoursup peuvent encore modifier leurs vœux et tenter d'obtenir un hébergement.
Une résidence étudiante à Montpellier (illustration).
Crédit : PASCAL GUYOT / AFP
Je m'abonne à la newsletter « Économie »
Futur étudiant recherche bon plan logement de toute urgence. Alors que
la rentrée approche, des milliers de candidats inscrits sur Parcoursup
n'ont toujours pas reçu d'affectation dans l'enseignement supérieur.
Selon des chiffres officiels publiés le 7 août 2018, cette situation concerne actuellement 66.945 jeunes, soit un peu plus de 8% des 812.050 candidats inscrits sur la plateforme d'affectation en ligne cette année. Pour
ces lycéens et candidats en réorientation qui ne connaissent pas encore leur lieu d'affectation, trouver un logement étudiant peut s'avérer compliqué.
Cependant, si vous avez déjà fait une demande de bourse ou de logement Crous par anticipation mais que vous n'avez pas encore reçu votre affectation, il n'est pas trop tard pour tenter d'obtenir une place en logement Crous.
Modification des voeux encore possible
En théorie, la date limite pour déposer une demande de logement auprès du Crous était fixée au 17 juin dernier. Mais pour éviter de pénaliser ceux qui ne connaissent pas encore leur lieu d'affectation, le Crous offre la possibilité de modifier les vœux de logement, comme l'expliquait Olivier Bardon, sous-directeur de la Vie étudiante au Centre national des œuvres universitaires et scolaires (Cnous) au Monde en juin dernier.
Dès que vous connaîtrez votre lieu d'affectation, vous pourrez donc refaire une demande de logement auprès du Crous, même si la réponse tombe à la fin de l'été. De nouvelles possibilités vous seront alors proposées parmi les places restantes.
Attention cependant : puisque vous arrivez après la première vague de demandes de logement, le choix sera probablement limité, notamment en région parisienne où la demande en logements étudiants est très forte.
