Le journal de 9h : un des braqueurs présumés du casino d'Aix-en-Provence arrêté

REPLAY - Un conducteur transportant des fusils et des pistolets a été intercepté à la frontière espagnole.

Un micro RTL

Crédit : RTL

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Un homme possiblement impliqué dans le braquage du casino d'Aix-en-Provence a été interpellé. Une voiture transportant plusieurs armes dont des fusils et des pistolets a été interceptée samedi 13 février au passage frontière entre l'Espagne et la France de La Jonquera, et son conducteur a été arrêté, selon la presse espagnole. Un autre véhicule qui suivait cette voiture a été retrouvé à proximité de Barcelone dimanche 14 février.

Dans la nuit du 12 au 13 février, plusieurs individus armés ont fait irruption dans l'enceinte du casino d'Aix-en-Provence, créant la panique parmi les clients présents, avant de prendre la fuite avec la caisse. Une quinzaine de personnes ont été légèrement blessées dans la bousculade générale en tentant de se mettre à l'abri pendant que les quatre hommes cagoulés et armés de kalachnikov repartaient avec le butin.

À écouter également dans ce journal

- PSG : à quelques jours de la rencontre avec Chelsea, l'équipe fait face à une nouvelle polémique après la publication d'une vidéo de son joueur Serge Aurier dans laquelle le footballeur insulte ses coéquipiers et son entraîneur Laurent Blanc. Le défenseur de 23 ans s'est filmé en direct via l'application Periscope. L'an dernier, il avait déjà été suspendu 3 matchs pour avoir insulté un arbitre dans une précédente vidéo.

- Si la vigilance "vent violent" a été levée par Météo France, 7.000 foyers sont encore privés d'électricité en Bretagne et dans les Pays de la Loire. En Bretagne les conséquences de la tempête se répercutent sur le prix du poisson qui flambe. Les pêcheurs n'ont pas pu sortir en mer depuis plusieurs jours.

- Les agriculteurs bretons ont poursuivi leur mouvement de contestation samedi 13 février, en bloquant plusieurs entrées de magasins Leclerc de la région.

- À Munich, le Premier ministre s’est dit défavorable à la proposition d'Angela Merkel qui souhaite qu'un groupe de pays européens accueille plus de migrants que le quota de 30.000 personnes déjà prévu. "Nous ne pouvons pas accueillir plus de réfugiés" a déclaré Manuel Valls.

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