L’affaire Drost Notthof: l'étrange suicide qui n'en était pas un - Partenariat Le Parisien/Aujourd'hui en France

L'édito de Jacques Pradel

A la Une ce soir, les coulisses d’une enquête criminelle qui vient d’aboutir, six ans après un suicide suspect...

Le 26 septembre 2011 sur les hauteurs de Monaco, Drost Notthoff, 48 ans, profite discrètement de sa réussite professionnelle. Depuis quinze ans, cet Allemand gère sa société spécialisée dans l'événementiel. Depuis la principauté, il vend des billets pour des grandes compétitions sportives, du football à la Formule 1, ou pour des loisirs de VIP. Ses affaires marchent bien. Mais malgré les centaines de milliers d'euros de bénéfices annuels, Drost n'est pas du genre à mener une vie clinquante. Depuis deux ans, il vit seul dans une villa de location sans luxe tapageur. Son ex-femme, Gritt, l'a quitté.

Six ans après la mort de Drost Notthoff, son ex-femme et son compagnon viennent d'être renvoyés devant la cour d'assises pour assassinat. Le suicide de Drost cachait en fait un meurtre prémédité.

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Nos invités

Damien Delseny, rédacteur en chef adjoint au Parisien et chef du service informations générales, Le colonel Gaël Marchand, Commandant du groupement de gendarmerie des Alpes-Maritimes en 2011. Il a depuis cette époque, quitté la gendarmerie. (Il est actuellement directeur général d'une société de sécurité privée). Maitre Julien Darras, du barreau de Nice, avocat de Georges Pierru l'un des deux assassins présumés

Vous pouvez à tout moment soumettre une affaire à Jacques Pradel. Laissez votre message avec les principales informations nécessaires à l'équipe de l'émission pour programmer, peut-être prochainement, ce fait-divers dans L'Heure du Crime.