S'il y a bien un sujet qui a occupé les réseaux sociaux toute la journée ce sont les taxis. Ce mardi 23 juin sur RTL vous avez pu entendre le témoignage d'Alexandre, un jeune homme qui a publié sur Facebook un message et son visage tuméfié après, raconte-t-il, une agression de chauffeurs de taxi. Le jeune homme a expliqué qu'il s'était accroché avec certains taxis refusant de s'occuper de sa course. Éconduit, il aurait alors lancé qu'il ne fallait pas que les taxis s'étonnent du succès des VTC avec un tel comportement.
Le témoignage a eu un écho très important sur les réseaux sociaux. Tout le monde y allait de son anecdote contre les chauffeurs de taxis : désagréable, raciste, homophobe, trop cher, prenant de mauvais itinéraire. Bref c'était le festival. Marilys se disait "outrée par le comportement des taxis !", ajoutant : "Ils tendent des pièges aux Uber, frappent les chauffeurs & leurs clients. Perso j'en utiliserai plus." Guillaume lui tweetait : "Le jour où les taxis supprimeront la phrase : "Ça dépend, vous allez où ?", je supprime mon application Uber."
Audrey elle lançait sur le réseau social : "Dites les taxis qui appellent à "faire respecter la loi" par rapport à #UberPop : vous la respectez, vous, quand vous refusez des courses ?"
Les histoires de taxis d'Agnès Saal se multiplient au fil des semaines. Elle est presque devenue une célébrité sur les réseaux sociaux. Quelle est ce nouveau scandale qui agite les réseaux sociaux ce mardi 23 juin ? Agnès Saal, ancienne présidente de l'INA, qui avait été poussée à la démission après la découverte de 40.000 euros de frais de taxi pour l'INA semble répéter l'histoire. Selon l'Express, à paraître ce mercredi, l'ancienne directrice générale du Centre culturel Georges Pompidou aurait également dépensé près de 400.000 euros de frais de taxi entre 2007 et 2014. L'hebdo a même fait un petit calcul : cela reviendrait à 150 euros environ par jour de course… pendant 7 ans.
Sur Twitter on crie au scandale, on demande à Fleur Pellerin, la ministre de la culture, de se débarrasser définitivement d'Agnès Saal qui avait récupéré un poste de chargée de mission au ministère de la Culture après le scandale INA. Et après c'est aussi un festival de bons mot. Périnne tweete : "Je me demande si Agnès Saal n'est pas taxicomane". Clément ¿lui écrit : "Il paraît que certains taxis parisiens ont sur le tableau de bord une petite statue d'une Vierge avec le visage d'Agnès Saal". Bref. La justice enquête pour l'heure sur 38.000 euros de notes de taxis présentées entre janvier 2013 et avril 2014 par Agnès Saal.
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