1. Accueil
  2. Actu
  3. Société
  4. Nathalie Kosciusko-Morizet estime que Jean-Frédéric Poisson "récidive"
1 min de lecture

Nathalie Kosciusko-Morizet estime que Jean-Frédéric Poisson "récidive"

INVITÉE RTL - La candidate à la primaire de la droite a condamné la sortie de son rival sur un éventuel vote pour le Front national lundi 31 octobre.

Nathalie Kosciusko-Morizet le 17 octobre 2016 à Paris
Crédit : SIPA
"Il récidive", s'agace Nathalie Kosciusko-Morizet à propos de Jean-Frédéric Poisson
00:06:11
Geoffroy Lang
Je m'abonne à la newsletter « Infos »

Jean-Frédéric Poisson aime jouer avec les lignes rouges depuis qu'il a réussi à se faire un nom avec la primaire de la droite et du centre. Quelques jours à peine après avoir été rappelé à l'ordre par la Haute autorité de la primaire pour ses propos sur les "lobbies sionistes" aux États-Unis, le président du Parti chrétien-démocrate a soulevé la stupeur de nombreux élus Les Républicains en confiant qu'il n'était fondamentalement pas contre l'idée de voter pour Marine Le Pen en 2017.

Jean-Frédéric Poisson a beau précisé qu'un tel vote serait avant tout "contre Hollande"; sa rivale Nathalie Kosciusko-Morizet n'a pas caché son agacement, elle qui avait déjà saisi la Haute autorité la semaine passée. "Il récidive", a tonné la députée de l'Essonne un peu plus tard sur RTL : "Est-ce que ces idées-là ont leur place dans la primaire ? Moi, je dis non !"

On a des adversaires qui sont les socialistes, et on a des ennemis qui sont le Front national.

Nathalie Kosciusko-Morizet

"Moi, ce que je voudrais, c’est clarifier la place de ces idées-là dans la primaire et dans la droite", a poursuivi la candidate. Nathalie Kosciusko-Morizet a salué au passage le revirement de Nicolas Sarkozy, qui avait concédé qu'il voterait pour François Hollande, en cas de duel avec Marine Le Pen. "J’ai toujours dit que 'le ni-ni' ce n’était pas une solution", renchérit la seule femme candidate de la primaire, qui tacle une statégie "ni moralement justifiable, ni politiquement efficace".

"Il [Nicolas Sarkozy] revient à une position qui a été la sienne par le passé", en rappelant le désaccord qu'il l'avait obligé à quitter la direction des Républicains en décembre 2015 : "On a des adversaires qui sont les socialistes, et on a des ennemis qui sont le Front national".

La rédaction vous recommande

L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail.

Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien

S’abonner à la Newsletter RTL Info
En Direct
/

Bienvenue sur RTL

Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur

Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.

Bienvenue sur RTL

Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio

Je crée mon compte