Après les découvertes de quatre écoles vandalisées dans les Alpes-Maritimes - trois à Nice et une à Saint-Laurent-du-Var - plusieurs responsables politiques se sont exprimés sur des faits qu'ils qualifient tous des mêmes condamnations. À Nice, le sujet est même au centre de la bataille politique entre le maire de la ville Christian Estrosi et Patrick Allemand, un conseiller municipal d'opposition socialiste, au sujet de la mise en place de diverses installations de sécurité dans les écoles.
Si pour l'ancien vice-président de l'UMP ces faits sont "inqualifiables", le président du Conseil général des Alpes-Maritimes Eric Ciotti a exhorté le gouvernement a sanctionner fermement les auteurs de ces actes de dégradation. "Face à ce phénomène, l'État doit apporter une réponse ferme, cela passe notamment par un durcissement des sanctions à l'égard de ceux qui s'attaquent à l'École de la République, qui doit rester un sanctuaire préservé de toute violence", a-t-il ainsi fait savoir dans un communiqué.
En réponse, la ministre de l'Éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, a estimé dans un communiqué que "ces dégradations volontaires à l'encontre d'un symbole républicain, lieu de connaissance et de vivre-ensemble (étaient) intolérables". Alors que la police scientifique a été dépêchée sur les différents lieux, une porte-parole de la police a fait savoir que huit mois auparavant une bande de jeunes saccageurs d'écoles âgés de 14 à 16 ans avait été démantelée, sans toutefois faire de lien entre les enquêtes.
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte