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Le symbole de la justice (illustration)
Crédit : PHILIPPE HUGUEN / AFP
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Un instituteur, mis en examen depuis novembre 2016 pour le viol d'une fillette de 4 ans dans une école de Genlis (Côte-d'Or), dénonce une "erreur judiciaire". Devant la cour d'appel de Dijon, Eric P. a plaidé sa cause. L'enseignant a réclamé la levée de sa mise en examen jeudi 12 octobre.
Les derniers développements de l'enquête sont tels que la justice semble désormais donner raison aux dénégations de ce père de famille de 43 ans. Parmi les éléments à décharge : la culotte de la fillette a été expertisée, pas de trace d'ADN de l'instituteur. Mais une tache de sperme d'un membre de la famille de la victime. L'accusé, Éric P. témoigne au micro de RTL, "l'analyse révèle que le sperme n'est pas le mien et l'auteur est facilement identifié. Il s'agit de quelqu'un de la famille, qui est toujours auprès de la victime". La personne en question n'a pour l'instant pas été entendue par les gendarmes, mais pourrait être placée en garde à vue dans les semaines qui viennent. "Cette personne est celle qui a également porté plainte contre moi", confie Éric P.
Autre élément pointé par l'instituteur : un possible confit d'intérêt. La mère de la fillette est gendarme, et ce sont ses collègues qui ont enquêté sur l'affaire. L'homme de 43 ans, marié et père de famille, avait été écroué "pour les nécessités des investigations à poursuivre", Il avait été remis en liberté sous contrôle judiciaire fin mars.
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