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Emmanuel Macron dans l'école de Berd'huis d'où il a donné son interview télévisée, le 12 avril 2018
Crédit : AFP / YOAN VALAT
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Emmanuel Macron a donné la première grande interview de son quinquennat jeudi 12 avril à la télévision. Pour Alain Duhamel, "le ton s'est assoupli, mais le fond est verrouillé". Il estime que le Président "doit continuer dans ses réformes, parce qu'il n'a pas de moyen de faire autrement".
"Il faudra qu'il évolue", rétorque Nicolas Domenach. Mais il n'appelle pas pour autant à un recul d'Emmanuel Macron. Le Président devrait adapter sa parole, car "il y a un déficit social qui est trop patent en face".
"Il était appliqué et déterminé, mais il doit encore faire ses preuves", juge Alba Ventura. "Les gens attendent des résultats". Elle appelle donc le Président à maintenir son cap sinon "on va dire qu'il fait du Hollande ou du Sarkozy". "Il ne doit pas dévier", tranche-t-elle.
Pour Guillaume Roquette, l'inflexibilité d'Emmanuel Macron s'explique par la dimension symbolique des réformes comme celle de la SNCF. "Cette réforme est le symbole absolu du blocage français auquel il veut s'attaquer", souligne-t-il. Le Président ne devrait donc pas reculer, d'autant plus que "Macron n'a pas du tout le sentiment que la France est sur le point de se soulever contre lui". "On n'est pas à la veille de mai 68", tranche le directeur de la rédaction du Figaro Magazine.
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