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1er mai : Édouard Philippe assure qu'il n'y a pas eu de "défaillance de l'État"

Au lendemain des manifestations du 1er mai, le Premier ministre assure que l'État a correctement géré ces rassemblements malgré les nombreux débordements à Paris.

"Gilets jaunes" : Édouard Philippe veut tirer au sort des groupes de citoyens pour le "grand débat"
Crédit : CHARLES PLATIAU / POOL / AFP
Claire Gaveau & AFP
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1.200 personnes encagoulées et vêtues de noir sur le pont d'Austerlitz, à Paris. Cette image et celles des nombreux débordements constatés ont rapidement éclipsé les rassemblements syndicaux partout en France.

Dès lors, de nombreuses questions ont suivi. Pourquoi ces manifestants issus de "Black Blocs" ont-ils pu rejoindre le cortège ? Les forces de l'ordre devaient-elles intervenir plus tôt ? Le dispositif policier était-il suffisant ? Au lendemain des défilés du 1er mai, Édouard Philippe assure que l'État a correctement anticipé ces manifestations. "Je peux vous dire qu'en aucune façon il n'y a eu défaillance de l'État", a déclaré le Premier ministre, actuellement en déplacement à Bourges, sur BFM TV. 

Avant d'ajouter : "Ce n'est pas parce que le président de la République part en voyage officiel en Australie et en Nouvelle-Calédonie (...) qu'il n'y a pas de pilote dans l'avion". "J'espère que tous ceux qui se sont rendus coupables de ces actes seront sévèrement punis", a insisté le Premier ministre

Vers une dissolution des associations ?

Le gouvernement réfléchit dès lors à d'éventuelles sanctions. Édouard Philippe a ainsi évoqué une possible dissolution d'associations pour éviter de nouvelles violences. "On peut dissoudre une association de fait. Je n'exclus pas que nous ayons à prendre ce genre de décisions (...) Je ne m'interdis en rien de le proposer au président de la République de le faire", a expliqué le pensionnaire de Matignon.

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Une action notamment réclamée par le Front national. Mardi 1er mai, le parti de Marine Le Pen a demandé la dissolution de ces "milices d'extrême gauche".

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