L'actuelle Première Dame américaine ne souhaite pas suivre le chemin tracé par l’ancienne Première Dame, Hillary Clinton. Lors d'un échange avec la salle du festival SXSW à Austin (Texas), Michelle Obama a déclaré ne pas avoir l’intention de se lancer dans une carrière politique, voire une candidature à la Maison Blanche. "Je ne serais pas candidate à la présidentielle", affirme-t-elle. Ses filles Sasha et Malia en sont la principale raison.
Le débat était animé par la célèbre Queen Latifah, et c’est le magazine Variety qui révèle cette promesse. Le président des États-Unis, Barack Obama avait déjà prévenu que sa femme était impatiente de quitter les contraintes de la Maison Blanche et n’avait pas du tout l’intention d’y retourner. Une seule chose pourrait manquer à Michelle Obama : "la jeunesse", qui ne cessait de l'"inspirer".
La très discrète Laura Bush, l’épouse de George W. Bush, était interrogée par USA Today à l’occasion de la sortie d’un livre. Lorsque le journal lui demande si elle soutiendrait Donald Trump, s’il était le candidat du Parti républicain, elle prévient "don't ask that" ("ne demandez pas ça").
Puis, elle commente finalement la promesse du milliardaire, d’interdire l’entrée du territoire américain aux musulmans. "Je veux que les Américains se souviennent ce que sont nos vraies valeurs. Nous n’avons pas de tests religieux aux États-Unis. Et il faut s’en souvenir", lance-t-elle.
Il est peut-être mieux pour Hillary Clinton qu’elle entre enfin à la Maison Blanche, car sa reconversion à Hollywood risque d’être compromise. Sa prestation dans la série Broad City ne fait pas éclater des talents d’actrice. La candidate joue son propre rôle dans la série de Comedy Central, produite par Amy Poehler (qui l’incarnait dans Saturday Night Live, pendant la campagne de 2008.
Une série au public plutôt féminin et plutôt jeune, deux des points faibles d’Hillary Clinton depuis le début de la campagne. Elle avait d'ailleurs déjà joué dans Saturday Night Live à l’automne, le rôle d’une serveuse de bar… face à son imitatrice.
C’est une histoire qui montre
que le Parti républicain est prêt à tout pour empêcher Donald Trump d’être
président. Lindsey Graham est un éminent
sénateur républicain. Il a même fait campagne, sans trop y croire, pour la Maison Blanche. Après s’être retiré, il a soutenu Jeb Bush en vain avant de s’engager aujourd'hui pour Ted Cruz. Un homme décidément affairé.
Ce soutien paraît pourtant peu crédible. Il y a peu de temps, Lindsey Graham accusait le sénateur texan de tuer le Parti républicain, l’avait traité d’opportuniste et avait même plaisanté sur la mort du candidat texan, disant qu’au Sénat personne ne poursuivrait son assassin s’il se faisait tuer (tant Ted Cruz est détesté par ses collègues). Et pourtant aujourd’hui il va faire campagne, et même lever des fonds pour le candidat de la droite religieuse.
Il devait succéder à Barack Obama à la Maison Blanche. Marco Rubio, après son humiliation dans la
primaire de son État de Floride, ne sera pas président, et refuse même
d’envisager la vice présidence (son soutien par défaut à Ted Cruz contre Donald Trump avait alimenté des spéculations).
Il ne sera bientôt plus sénateur, son mandat va
prendre fin. Enfin, il ne sera pas candidat au poste de gouverneur. Il promet de redevenir un
citoyen comme les autres. Pour mieux revenir un jour ?
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte