L’ancienne secrétaire d’État a peu évoqué les autres pays dans son discours à la convention nationale parlementaire, elle sait que l’élection va se jouer sur les questions intérieures. Néanmoins, elle a évoqué la France frappée par le terrorisme, pour montrer que Donald Trump n’était pas prêt à être commandant en chef des armées.
"De Bagdad à Kaboul, de Nice à Paris et Bruxelles, de San Bernardino à Orlando, nous faisons face à des ennemis déterminés qui doivent être vaincus. J’ai défini une stratégie pour vaincre Daesh. Ce ne sera ni facile, ni rapide. Mais ne vous y trompez pas : nous nous imposerons", a exposé la candidate démocrate. Elle a ensuite entrepris de démonter le magnat de l'immobilier. "Quand Donald Trump dit, je cite : 'J’en sais plus sur Daesh que les généraux.' Non Donald, tu ne sais pas. Vous croyez vraiment que Donald Trump a le tempérament pour être le commandant en chef ?", a-t-elle raillé.
Elle a pointé le caractère impulsif de l'homme, et a remis en doute sa capacité à faire face à des situations de crise. "Un homme que vous pouvez provoquer avec un simple tweet n’est pas un homme à qui on peut confier l’arme nucléaire" a-t-elle lancé en guise d'attaque.
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