Avec le retrait de Marco Rubio, le dernier espoir des pontes du Parti républicain pour empêcher Donald Trump d’être désigné candidat (selon eux, la chronique d’une défaite annoncée face à Hillary Clinton), est de le priver de la majorité absolue des délégués. Ainsi, cela obligerait à organiser plusieurs tours de scrutin, lors de la convention en juillet à Cleveland.
Dans
cette hypothèse, un autre candidat peut être désigné, s’il réunit une majorité
des délégués, y compris s’il n’a pas concouru aux primaires. Mitt Romney, candidat malheureux du parti en 2012, jure qu’il n’y pense pas pour
lui-même. Mais celui qu’il avait choisi sur son ticket pour être vice-président, Paul Ryan, semble pour la première fois ne pas l’exclure de manière
définitive, lors d’une interview sur la chaîne CNBC. Même s’il jure ne pas y
penser sérieusement, il ne ferme pas totalement la porte : "Nous verrons.
Qui sait ?".
Paul Ryan,
désormais speaker du Congrès, c’est-à-dire chef de la majorité républicaine,
troisième personnage des États-Unis, est perçu comme un modéré et un rassembleur
(ses collègues avaient dû le supplier d’accepter le poste, il y a quelques
mois).
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