Il
est, ou était, l’espoir de l’appareil du parti républicain pour barrer la route
de Donald Trump. Si les sondages sont exacts, Marco Rubio va non seulement
perdre ce mardi son État de Floride, mais devrait être largement distancé par le milliardaire. Ce qui l’obligerait à suspendre sa campagne et renoncer à son
rêve de Bureau ovale, alors qu’il se voyait déjà comme le Barack Obama conservateur,
le premier président latino, fils d’un barman cubain.
Ce
mardi soir, il tenait son dernier meeting à quelques pâtés de maisons de chez
lui, dans le quartier pavillonnaire de West Miami. Sur un terrain de basket, où
il a parlé essentiellement en espagnol, debout sur l’arrière d’un pick-up,
entouré de ses enfants.
Mais
quand ça veut pas, ça veut pas. Faute d’argent dans sa campagne, il n’a pas pu
compter sur les micros et les hauts-parleurs branchés à la hâte. Il n’a eu
d’autres choix que de parler au mégaphone, devenu le symbole d’une campagne où il aura peiné à se faire entendre.
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