- 20m22s
1 min de lecture
Un homme patientant dans l'aéroport JFK de New York (illustration)
Crédit : CHRIS HONDROS / GETTY IMAGES NORTH AMERICA/FILES / AFP
Je m'abonne à la newsletter « Infos »
Personne ne sait réellement ce qui a pu se passer, ce dimanche 14 août au soir, à l'aéroport JFK de New York. Plusieurs centaines de passagers ont été bloqués pendant plus de deux heures dans le terminal 1 et les autorités ont dû évacuer au moins deux terminaux.
Tout aurait commencé lorsque des policiers ont ordonné aux passagers présents de se mettre à terre, entraînant la panique de la foule. Celle-ci a ensuite été évacuée sur le tarmac et conduite à travers un couloir.
"À l'heure actuelle, aucune douille ou autre preuve de coup de feu tiré n'a été trouvé", a indiqué dans un communiqué l'autorité portuaire de New York et du New Jersey, qui a aussi précisé qu'aucun blessé n'était à déplorer dans l'immédiat. L'enquête, elle, se poursuit et des policiers ont été déployés à l'aéroport de JFK ainsi qu'à celui de La Guardia.
Joe Pentangelo, un porte-parole de l'autorité portuaire, a précise que selon la police aéroportuaire, les informations faisant état de coups de feu étaient "sans fondement". Harry Wedin, le chef des opérations spéciales de la police de New York, a lui indiqué que tous les terminaux de l'aéroport avaient été fouillés. Sur Twitter, il a également fait savoir que "tous les terminaux affectés [allaient] bientôt reprendre leurs opérations". Finalement, l'incident a provoqué d'importants retards dans le trafic aérien.
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte