Le titre Renault a perdu plus de 10% de sa valeur en raison de soupçons de fraude déclenchés par des perquisitions de la brigade de répression des fraudes jeudi 7 janvier sur quatre sites du constructeur, dont le siège, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) ainsi que le centre d'ingénierie de Lardy (Essonne), le techno-centre de Guyancourt (Yvelines) et le site du Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine).
Le délégué central de la CGT chez Renault, Fabien Gâche, est revenu sur la tourmente médiatique qui entoure le constructeur français, après que son syndicat a révélé l'existence de ces perquisitions jeudi 14 janvier. "La CGT n’a jamais mis en cause des trucages", corrige le représentant de la CGT. À l'origine de la démarche du syndicat, un problème entre les objectifs affichés par Renault en terme de limitation de la pollution et les moyens humains des salariés sur les sites de Renault.
"Le problème c’est que pour avoir des véhicules qui correspondent aux attentes des clients, les salariés le font de plus en plus au détriment de leur santé", s'indigne Fabien Gâche sur RTL. Le salarié de Renault ne s'étonne de "la flambée médiatique" qui entoure aujourd’hui son employeur, bien éloignée de la démarche originelle de la CGT.
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