Le 30 juillet sortira en France au cinéma La planète des singes : l'affrontement. Le film réalisé par Matt Reeves (Cloverfield) est la suite de La planète des singes : Les origines sorti en 2011. Le long-métrage est projeté aux États-Unis depuis ce mercredi 11 juillet.
L'histoire se déroule dix ans après le premier opus. Une nation de plus en plus peuplée par les singes génétiquement évolués est confrontée pour la première fois aux hommes. Les singes croyaient les humains morts, éradiqués par un virus. Mais une poignée a survécu et pénètre sur le territoire des primates Un coup de feu éclate, blessant un singe. La guerre est proche.
Outre-atlantique, le film fait couler beaucoup d'encre, mais pour de bonnes raisons. La presse américaine se délecte de l'oeuvre de Matt Reeves.
D'après le site CBS Détroit, La planète des singes : l'affrontement est "une suite magnifique". Au début de sa chronique, la journaliste explique qu'elle a vécu le suspense à fond. Au point d'avoir regardé le film clouée au fond de son siège sans respirer.
Du côté du Mirror, on assure que cette suite est meilleure que le premier film La planète des singes : Les Origines. Le journal place cette suite à la hauteur d'Alien et de Terminator 2. Peu habituel : le très respecté Washington Post décrit "une formidable violence". Le journal affirme que la planète des singes est le film idéal pour les "étudiants fans de science-fiction cérébrale".
Tous les critiques saluent la beauté visuelle du film et complimentent le travail des équipes techniques du film. Les journaux saluent surtout le rôle de l'acteur invisible du film, Andy Serkis. L'anglais a joué le rôle du singe principal, Caesar, grâce à la performance capture (capture de mouvement).
Cette technique consiste à enregistrer, modéliser puis informatiser les gestes d'un acteur. Le journal californien The sacramento Bee explique que c'est grâce à la performance d'Andy Serkis que le film trouve "son moment le plus poignant", grâce aux expressions du visage de l'animal. La journaliste évoque une scène où le singe Caesar parle à son fils adolescent.
"Ne vous étonnez pas d'être plus émus par les singes que par le casting des acteurs au rôle d'humain" assume le site Boston.com avant d'ajouter "Oldman et compagnie font l'affaire dans leur rôles limités".
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