Nicolas Vanier continue sa traversée de Mongolie

Après un manque de neige considérable, c'est cette fois un surplus de neige que Nicolas Vanier rencontre dans son périple de l'Odyssée Sauvage.

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Nicolas Vanier en Mongolie

Crédit :

Un surplus de neige

Nicolas Vanier voulait de la neige, il n'a pas été déçu. Lui et ses chiens ont été presque bloqués par la quantité impressionnante de neige qu'ils avaient à traverser. Heureusement, des mongoles et six chevaux lui sont venus lui ouvrir la voie. Le sentier qu'ils avaient suivi jusque là était adapté aux chevaux mais pas à un traineau de dix chiens : montées trop raides, descendes acrobatiques, d'énormes cailloux, des zones de glace, des souches, une bonne centaine de chutes... Nicolas Vanier n'a parfois pu avancer que d'un kilomètre par heure...

Carte de l'Odyssée Sauvage - Nicolas Vanier

Crédit :

L’un des guides mongols, me voyant exténué, en sang (une sale chute sur le nez !) est revenu pour m’aider, mais quelle bataille pour avancer d’un kilomètre à l’heure parfois moins !

Nicolas Vanier

Les chiens de Nicolas Vanier continuent leurs exploits

Mais heureusement, les chiens ont assuré. Après sa baisse de tension en Chine, Burka s'est remise en selle et a réalisé des prouesses.
Mais Burka n'était pas la seule qu'il fallait féliciter, tous les chiens ont participé à la réussite de cette traversée.
Plus tard, Nicolas Vanier et ses chiens ont emprunté une rivière pleine de cailloux, de glace et de pièges. Luttant ainsi pendant des heures avant de retrouver son équipe technique qui lui a confirmé qu'il n'y avait plus qu'à suivre cette rivière.