Bientôt la Mongolie pour Nicolas Vanier

Nicolas Vanier continue son périple vers la Mongolie avec beaucoup de surprises et de belles rencontres.

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Une neige idéale

Nicolas Vanier a connu un manque de neige considérable en début de semaine, l'obligeant à parfois utiliser son traîneau à roulettes.
Après quelques jours de galère le climat s'est amélioré lui permettant de serpenter sur des rivières entre de petites collines. Une surface gelée avec un peu de neige offrant une étendue parfaite pour parcourir de nombreux kilomètres tout en faisant attention aux nombreuses poches de "slutch" (eau mélangée à la neige).

L'odyssée Sauvage - Nicolas Vanier

Crédit :

Des chiens de plus en plus agiles

La surprise de ces derniers jours vient de Miwook qui a remplacé Quest en tête avec brio, en tandem avec Burka. Quest, trop timide et un peu hésitante face aux dangers, communiquait son stress aux chiens tandis que Miwook assume parfaitement sa place et seconde admirablement Burka qui, à ma grande surprise, n’est pas du tout jalouse et s’en remet même parfois à lui lors de choix difficiles !

Nicolas Vanier

De belles rencontres

Les chinois rencontrés sur le trajet sont toujours prêts à rendre service : des pécheurs ont nourri les chiens et lui ont proposé un thé pour se réchauffer. En traversant une forêt Nicolas Vanier a fait de nouvelles rencontres mais cette fois-ci animales : chevreuils, tétras, lièvres et lynx !

Une attention particulière pour ses chiens

Pour que la traversée se passe convenablement, Nicolas Vanier porte une attention particulière au confort des chiens. Il leur prépare tous les soirs une niche avec des herbes hautes et les couvre de manteaux de laine polaire. La protection de leurs pattes est obligatoire car la neige est destructrice et pourrait leur provoquer des blessures.

L'odyssée Sauvage - Nicolas Vanier

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Sur la route de la Mongolie

Madame Sylvie Bermann, Ambassadeur de France en Chine, m’a fait l’honneur d’une visite et a participé à notre départ sur une rivière que je pense pouvoir suivre sans encombre jusqu’au lac Hulun, je me trouverai alors aux portes de la Mongolie.

Nicolas Vanier