On refait le match avec :
- Francesca Antoniotti, journaliste à RTL,
- Erik Bielderman, journaliste à L'Équipe Magazine,
- Hervé Penot, journaliste à L'Équipe,
- Denis Balbir, journaliste sportif sur Yahoo,
- Yann Bouchery, journaliste à RTL.
Cet après-midi, Lyon a affronté Évian pour le compte de la 35ème journée de Ligue 1. L'Olympique Lyonnais n'a pas trébuché sur sa pelouse et s'est imposé (2-0). Grâce à cette victoire et à la faveur d'une meilleure différence de buts, les Gones reprennent provisoirement les commandes du championnat au dépend des Parisiens.
Même si Lyon n'a pas eu de mal à se défaire de son adversaire du jour, l'OL n'a pas déployé un jeu flamboyant face au premier relégable de la Ligue 1. Au vu de leur prestation de ce samedi, les hommes d'Hubert Fournier peuvent-ils prétendre au titre ?
Pour Hervé Penot, Lyon est un vrai prétendant à la succession du PSG cette saison. Il estime que si la formation d'Hubert Fournier continue de remporter ses matchs, elle pourra y parvenir. Il souligne également que le club de la capitale peut aussi perdre face à Nantes et à Montpellier.
Lyon doit gagner ses matchs pour prétendre au titre de champion de la Ligue 1 car le PSG peut aussi chuter.
Hervé Penot, journaliste à L'Équipe
La révolution n’arrivera pas de sitôt au PSG. Si l'on s’attendait à un remaniement total, son président Nasser Al-Khelaïfi a assuré le contraire. Même si l’effectif du club parisien a montré ses limites face à Barcelone la semaine dernière, la saison prochaine ne verra pas de grands changements.
Ainsi, malgré le fait que le duo Ibrahimovic-Cavani ne soit pas vraiment complémentaire pour être à la pointe de l’attaque, les positions ne devraient pas changer. Le président du PSG ne veut se défaire ni de son attaquant vedette suédois ni de son buteur uruguayen, qu'il a qualifié comme étant "le futur du club". En outre, il a également révélé que Laurent Blanc ne quittera pas le PSG.
Faut-il croire Nasser Al-Khelaifi ?
Denis Balbir, journaliste sportif sur Yahoo, estime que la déclaration de Nasser Al-Khelaifi était plus un discours diplomatique, qu'autre chose. Selon lui, le président du PSG ne pouvait pas avancer que Laurent Blanc ou Zlatan Ibrahimovic pourraient partir, au moment où le club joue le titre de champion de France avec difficulté.
Un président peut dire une chose un jour, et le lendemain affirmer le contraire.
Denis Balbir, journaliste sportif sur Yahoo
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