Le président du PSG renouvelle son "soutien plein et entier" à l'entraîneur
Après l'élimination brutale de son club en Ligue des Champions, Nasser Al-Khelaïfi s'est livré au "Parisien", assurant que le coach de l'équipe, Unai Emery, serait toujours présent la saison prochaine.
Les six buts encaissés, et l'élimination qui en a découlé, n'auront pas eu raison de la confiance de Nasser Al-Khelaifi envers son entraîneur. Dans une interview à paraître samedi 11 mars dans Le Parisien, le président du PSG reconnaît son amertume, mais assure de son "soutien plein et entier" au coach Unai Emery.
"Unai a des qualités en lesquelles nous croyons. Il a mon soutien plein et entier", a déclaré le patron qatari du Paris-Saint-Germain, ajoutant : "avec lui, nous allons parler des changements qui seront nécessaires à l'intersaison".
Et le président du club de la capitale de préciser ses plans pour le coach espagnol : "nous allons travailler pour envoyer dès cet été des signaux forts qui montreront à quel point nos ambitions sont grandes".
Après la défaite historique au Camp Nou mercredi 8 mars en Ligue des Champions, Nasser Al-Khelaifi ressent tout de même de l'amertume : "nous n'avons pas été à la hauteur de ce qui devait être l'un des moments forts de notre projet", a-t-il admis dans les colonnes du Parisien, confiant ressentir "un mélange de tristesse et de colère".
Les hautes ambitions du PSG
Malgré tout, l'ancien tennisman est convaincu que Paris reste une grande équipe capable d'attirer les plus grands joueurs du monde, soulignant que le club bénéficiait toujours d'un "stade magnifique avec une ambiance de plus en plus belle."
"Nous avons l'ambition de nous doter dans les prochaines années du meilleur centre d'entraînement du monde. Un grand joueur sera toujours sensible à tout cela", a-t-il ainsi assuré.
Enfin, à l'heure d'évoquer les erreurs d'arbitrage survenue mercredi à Barcelone, le président parisien a affirmé que "l'issue de ce match aurait pu être différente avec un arbitrage plus clairvoyant". "Tout le monde a vu au moins le penalty sur Di Maria qui aurait pu nous permettre de revenir à 3-2 et sans doute de tuer tout suspense. Sans oublier qu'il n'y avait pas penalty sur Suarez en fin de match...", a-t-il déploré.
