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Didier Deschamps et Karim Benzema, le 6 juin 2013 lors de la Coupe du monde au Brésil
Crédit : AFP / Archives, Franck Fife
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"On ne peut pas dire il y a un an, 'Deschamps a cédé à la France raciste', et s'étonner que le sélectionneur ne vous retienne plus", avertit Pascal Praud. "On ne peut pas mettre la pression sur Didier Deschamps, multiplier les déclarations maladroites, comme avant-hier (mercredi 17 mai, Ndlr) dans L'Équipe, et regretter qu'il vous oublie", poursuit-il.
"Karim Benzema ne reviendra jamais tant que Didier Deschamps sera là ! Il n'a plus besoin du footballeur depuis l'éclosion de nouveaux talents, il n'apprécie pas l'homme qui incarne - et le chapeau est un peu grand sans doute, c'est injuste peut-être - les années Ribéry et Nasri, ce divorce qui a existé entre le public et ces footballeurs", constate le journaliste.
"Je rappellerai aussi que Benzema n'a jamais brillé avec les Bleus, qu'il est toujours mis en examen pour complicité de tentative de chantage et association de malfaiteurs", fait remarquer Pascal Praud. "Didier Deschamps est un dur, il ne transige pas, il ne discute pas, il ne compose pas. Quand c'est non, c'est non. Et quand c'est fini, c'est fini", conclut-il.
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