Rupture : les 7 pires manières de rompre

Toutes les bonnes choses ont une fin, ou presque. Les relations amoureuses ne font pas exception à la règle. Il faut souvent passer par plusieurs partenaires pour enfin trouver la bonne personne. Avec le nombre d'expériences s'aligne forcément celui des ruptures. C'est sans doute l'une des situations les plus délicates à laquelle nous sommes confrontés en matière sociale et relationnelle. 

Mettre fin à une relation entre deux personnes qui ont passé un temps indéterminé à se connaître, se découvrir, s'ouvrir, se confier, cela ne peut être que douloureux et compliqué. Il existe évidemment de meilleures manières que d'autres de rompre. Certains tentent d'être les plus délicats possible, en essayant d'atténuer les blessures provoquées au maximum. Quand d'autres, eux, s'illustrent des pires manières pour mettre un terme à leur relation. Florilège.

1 - La technique du "ghosting"

Une des plus terribles et des plus lâches, c'est la technique du "ghosting", ou la disparition. Pas besoin de beaucoup de leçons d'anglais pour comprendre le principe : disparaître des écrans radars sans ne plus jamais donner de signe de vie. Bloquer son numéro, bloquer son profil Facebook, ne plus jamais répondre à aucun de ses messages... Son efficacité émane de sa cruauté.

2 - De retour avec son ex

Se faire jeter par quelqu'un, c'est difficile. Pire encore quand c'est pour quelqu'un d'autre. Mais toujours moins douloureux que lorsque l'on se faire remplacer par l'ex. C'est comme un retour en arrière sans que jamais vous n'ayez existé, comme si toute la relation n'a servi à rien et que l'être perdu repartait de zéro, et ne vous avait jamais rencontrée. 

3 - De "En couple" à "Célibataire" sur Facebook

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Sans doute l'une des pires manières d'apprendre que l'on vient de devenir célibataire, c'est de l'apprendre après tout le monde. Alors la technique qui consiste à décocher la case "En couple" pour celle "Célibataire" sur Facebook est l'une des plus cruelles. Elle fait déjà preuve d'une lâcheté de haut niveau et vient en plus exhiber votre douleur intime aux yeux de tous. De manière générale, les SMS, mails, Snap, changements de photo de profil explicites ou toute annonces douloureuses faites à distance et non en face à face sont particulièrement brutales.

4 - Pousser l'autre à la rupture

Certaines personnes sont tellement basses qu'elles n'assument pas leurs propres envies et décisions. C’est pourquoi, pour se débarrasser du moment douloureux de la rupture, elles préfèrent pousser l'autre à agir. Montrer que l'on n'a plus d'intérêt, s'éloigner physiquement, ne plus répondre systématiquement "Je t'aime"... Bref, autant de signes qui jettent de l'huile sur le feu et incitent l'autre à se séparer de l'être aimé. 

5 - Dans un lieu public où tout le monde vous entend

Situation gênante qui peut faire passer le moment de difficile à insupportable. Dans le bus, le métro, l'ascenseur, le cinéma... Bref, là où vos conversations ne sont un secret pour personne, le moment redouté peut devenir difficilement gérable. Les regards de pitié qui ne vous quittent plus lorsque vos larmes inondent votre visage ne feront qu'aggraver la chose. 

6 - En plein milieu d'une semaine de vacances

Quoi de pire qu'une grosse rupture pour gâcher un moment de bonheur et d'apaisement ? C'est ce qui arrive parfois aux plus malheureux d'entre nous, quand leur moitié les a laissés tomber au beau milieu d'une semaine de vacances ou d'un voyage exotique. Malgré le contexte extérieur de détente et de soleil, notre cœur devient sombre et plus rien ne nous donnera le sourire.

7 - Donner une excuses bidon et/ou vexante

Les plus raisonnables savent que l'unique bonne manière de rompre avec quelqu'un, c'est de lui annoncer en face. Mais il est aussi question des raisons de la séparation. Ainsi, les excuses bidon ne passent pas vraiment, comme "Ce n'est pas toi, c'est moi", "Je ne me sens pas prêt(e) pour m'engager" ou encore "Je ne te mérite pas". Et surtout, ça ne sert à rien de faire des promesses que l'on sait intenables. Ne surtout pas dire : "Je préfère qu'on reste amis".