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Azerty : le gouvernement estime qu'il est "presque impossible d'écrire en français correctement" avec le clavier
REPLAY - CLICS À LA UNE - Le ministère de la Culture souhaite mettre en place un nouveau clavier dès l'été prochain. Il devrait permettre une utilisation "plus aisée" du français.
Des chercheurs du MIT ont mis au point un algorithme pour repe´rer les premiers signaux de la maladie de Parkison en analysant la faa`c¸on dont une personne frappe sur un clavier d'ordinateur
Crédit : Flickr
Et si c'était la fin des claviers azerty ? Le ministère de la Culture estime qu'avec ce clavier "il est presque impossible d'écrire en français correctement avec un clavier commercialisé en France". Dans un message posté sur son site, le vendredi 15 janvier, il préconise la mise en place d'un nouveau modèle de clavier : "Un clavier normalisé pour les usagers résidant en France devrait idéalement répondre à tous leurs besoins. Il parait indispensable que ce clavier permette l’utilisation aisée non seulement du français, mais aussi des différentes langues présentes sur notre territoire, que ce soit des langues régionales ou des langues étrangères".
Pourquoi changer ? Le gouvernement a jugé que les Français rencontrent principalement des problèmes avec les caractères accentués en majuscules, mais aussi les chevrons et les guillemets français. À cela s'ajoute le fait que chaque fabriquant place les symboles "@" et "€" à sa guise. Un projet de nouveau modèle de clavier pourrait être présenté l'été prochain. Elle sera mise en place par l'Association française de normalisation (Afnor). Sur Twitter, l'emballement face à cette annonce se fait peut sentir. Beaucoup d'internautes n'hésitent pas à critiquer la démarche du gouvernement.
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Des millions
d'utilisateurs de Twitter n'ont pas pu accéder au réseau social, ce mardi 19 janvier. Depuis 9 heures 20, le site est tombé en panne dans plusieurs pays à cause d'une "erreur technique". Et tout au long de la journée, les bugs ont disparu, puis sont
revenus.
Mais les irréductibles twittos
ont continué à poster des messages avec le hashtag #TwitterDown. Il y a
ceux qui prennent la nouvelle avec philosophie. Un internaute a décidé de parler
à son collègue Michel et il a découvert qu'il s'appelle Hervé. Thomas raconte qu'il
en a profité pour prendre des nouvelles de sa famille, payer ses factures et
travailler. Il y a ceux pour qui
la journée a vraiment été dure. Un internaute compare cette panne à
l'apocalypse. Emma s'est lancée dans une déclaration d'amour envers Twitter et
explique que jamais, elle ne passera sur Facebook.
