Le Chineur Gourmand se trouve sur la route de la Normandie juste avant le petit village de Jeufosse. Dès que vous franchissez la porte de ce restaurant, car c’en est un, vous vous retrouverez dans l’univers de la chine. Dans l’entrée, deux flippers en état de marche sont à votre disposition, dont un collector des années 70 et une étonnante haie d’honneur de toutes sortes de figurines de héros de dessins animés japonais qui vous indique la salle du restaurant. Les menus du midi sont à 17 et 21 euros sans les vins. On peut se régaler du foie gras fait maison et de souris d’agneau.
La
chine, c’est la passion de la patronne Maggy, une ancienne professionnelle
de la brocante et une collectionneuse compulsive. Il y a vraiment de tout, des
affiches anciennes, des chats sous toutes les formes, elle les adore, la dînette de Mickey, des flacons de parfums… des objets et encore des objets partout. Maggy est très possessive avec ses objets. Mais elle est adepte du
« troc » , alors si vous êtes un vrai collectionneur, un passionné de
la chine, prenez le temps de parler avec elle. On ne sait jamais. En tout cas
n’oubliez pas que c’est un restaurant ouvert à des horaires de restaurant. Du
mardi au samedi, le midi et le soir, et le dimanche, seulement pour le
déjeuner. Maggy change la déco au moins deux fois par an, en ce moment c’est le
thème cabaret.
Le bulot sans mayo, c'est interdit ! Plonger nos petits gastéropodes dans un océan de mayo bien moutardée, c'est un véritable rituel. Commencez par rincer longuement vos bulots à l’eau claire. Puis, mettez-les dans une grande gamelle remplie d’eau froide, et là, allez y à fond sur la garniture aromatique. Plein de sel, du poivre noir concassé, un gros oignon avec clous de girofle, une carotte en tronçons, une gousse d’ail, un bon bouquet garni avec du vert de poireau, du thym frais, du laurier, des queues de persil, et puis ensuite, libre à vous si vous le souhaitez d’ajouter une grosse rasade de vin blanc, et puis pourquoi pas aussi quelques épices. On peut aussi ajouter une cuillère à soupe de curcuma, ou du pimenton espagnol.
Montez la
gamelle à ébullition, puis baissez légèrement le feu et laissez cuire
à petits bouillons pendant un quart d’heure. À déguster avec la mayo : soit vous faites une belle mayo classique maison, soit vous l'arômatisez. Curcuma, pimenton, quelques gouttes de sauce de soja ou du wasabi à la place de la moutarde : les possibilités sont nombreuses.
C'était un des musts des jardins français au XIXe : une petite plante grassouillette, le Sedum Sieboldii, qu’on appelait alors Sedum de Sainte Thérèse. Il eu jadis un succès phénoménal. Toutes les dames en voulaient. Les duchesses en avaient dans leur jardin. Les concierges le gardaient en pot sur le rebord de leur fenêtre, les dames de la campagne en plantaient dans des vieux chaudrons. Il plaisait à toutes !
Tout commence au printemps avec une fontaine jaillissante de branches couvertes de petites feuilles bleutées. Les branches pointent d’abord vers le ciel puis s’arquent gracieusement pour retomber presque à terre. Jusqu’à la fin de l’été Il est aussi beau en terre qu’en pot. Quand on fête en octobre les deux Saintes Thérèse, c’est l’apothéose. Le feuillage s’embrasse de milles couleurs. Un kaléidoscope. En plus, l’extrémité de chaque tige se pare d’une fleur pompon rouge-rose scintillant qui embaume le miel !
Le Sedum sieboldii ne craint ni le sec, ni le froid. Planté en terre, au jardin, il se débrouille tout seul car la nature est une bonne mère. En pot, en revanche, c’est vous la maman, il faudra donc l’arroser de temps en temps. Et lui donner à manger ! Sinon, il restera petit.
Vous pouvez contacter le chroniqueur Thierry Denis via son blog.
Pour la cuisine, achetez
de la feutrine et découpez de grands cercles. Ensuite vous les poserez au fond des casseroles ou des poêles. Ça va servir à ne pas rayer les fonds lorsqu’on empile les casseroles. Quand on a une assiette sale, avec par ex de la
semoule accrochée dessus, avant de la mettre dans le lave-vaisselle on utilise une spatule avec laquelle on gratte
l’assiette au-dessus de la poubelle.
Pour le salon, une astuce
pour être civique envers ses voisins : on pose
ses baffles sur une pile de magazine, pour les amortir. Pour que ce soit déco, et surtout non dangereux pour les
loustics qui entreprendraient de grimper, on solidifiera l’ensemble avec un
large ruban. Dans les magasins Déco branchés de la
capitale, on vend des rubans à scratch sont spécifiques à cet usage. La pile de magazine, c’est in ! Quant aux fils qui traînent, entortillez les dans un ruban coloré. C’est comme un
boudin de couleur sur le sol et c’est plus élégant que l’amas de fils
enchevêtrés.
Dans les couleurs, vous avez peut être enlevé des portes, celle qui mène au salon par
exemple. Profitez de l’espace entre les gonds de la porte pour fixer un câble transparent. C’est discret, ça ne se voit pas et on peut étendre ses draps le matin avant de partir au boulot. Pour les joints, prenez des torchons, trempez les dans
du vinaigre blanc et posez les sur les joints. Après toute une nuit, ils seront comme neufs.
Côté shopping, on pourra penser à cette nouvelle cafetière mise au point par Tefal. Grace à une application, elle est connectée à votre smartphone.
Quand le téléphone qui nous sert de réveil sonne, il met aussi la cafetière en
route. Son prix : 74,99 euros.
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