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Un collégien sur 5 concerné par la "cyber-violence"

REPLAY - Découvrez les sujets qui seront abordés dans l'émission "Les auditeurs ont la parole".

Harcèlement scolaire
Les auditeurs ont la paroles du 27/11/2014
00:27:10
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Un collégien sur 5 concerné par la "cyber-violence"

C'est un chiffre en hausse : 18% des élèves de collège déclarent, en 2013, avoir été insultés, humiliés ou victimes d'actions dévalorisantes (surnom, photos ou films méchants, "happy slapping" (agressions filmées) par le biais des nouvelles technologies, comme le téléphone portable ou internet.

Et 5% (1 collégien sur 20) a subi cette violence de façon répétée, et qu'on peut donc appeler "cyber-harcèlement".

D'après une note de la DEPP (Direction de l'Evaluation, de la Prospective et de la Performance) - la branche "statistiques" du ministère de l'Education Nationale -, la cyber-violence se développe depuis 2 ans.

En 2011, 9% des élèves déclaraient avoir été insultés ou humiliés par SMS ou internet (photos, films et happy slapping pas pris en compte à l'époque).. en 2013, ils étaient 14%, avec les mêmes indicateurs. Et donc 18% en prenant en compte les photos, films et happy slapping.

Le ministère de l'Education relève que le phénomène n'est pas plus répandu dans les établissements difficiles qu'ailleurs... et note que la cyberviolence touche davantage les élèves de 3ème et les filles.

On apprend aussi que plus d'1 élève sur 3 victime de cyber-violence n'en parle à personne. Quand ils en parlent, c'est surtout aux amis ou aux parents, mais très très rarement aux membres du collège.



Invitées de RTL Midi : Catherine Moisan, directrice de la DEPP (Direction de l'Evaluation, de la Prospective et de la Performance) et Justine Atlan, directrice de l'Association e-Enfance.

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Les Français vont réduire leurs dépenses pour Noël

Pour Noël, 53% des Français envisagent de dépenser moins que l'an passé, tandis que leurs premières préoccupations sont désormais les impôts et l'électricité, selon le Baromètre des projets, réalisé par Viavoice pour Groupe BPCE, Le Monde et France Info. 

Plus de la moitié des Français (53%) envisagent de "dépenser moins" que l'année dernière, 39% "autant" et seulement 6% "davantage", selon cette enquête  réalisée en ligne du 17 au 20 novembre, auprès d'un échantillon représentatif de 1.001 personnes. 

"Ces chiffres sont éloquents parce qu'ils indiquent que la fête ne sera généralement pas synonyme d'insouciance financière, et que les effets d'entraînement sur l'économie seront moins manifestes que par le passé", détaille Viavoice dans cette étude. 

Car les Français ont des préoccupations beaucoup plus terre à terre pour leur pouvoir d'achat: les impôts à 52%, et l'électricité à 35%. 

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Conférence environnementale : des annonces attendues après un automne tendu

Santé, transports, climat : la 3ème conférence environnementale qui s'ouvre ce matin s'attaque à des dossiers épineux, les écologistes exigeant des engagements forts de François Hollande après un automne marqué par le drame de Sivens et le recul sur l'écotaxe. 

Syndicats, patronat, ONG, élus et ministres se retrouvent à l'Elysée, pour cette réunion de deux jours qui est censée fixer la feuille de route verte du gouvernement pour 2015. 

"Les trois grands chantiers discutés vont permettre des avancés, il s'agit pour le président de mobiliser. Son discours devrait esquisser un bilan à mi-mandat, évoquer la transition énergétique et ses moyens. 

Après la mort en octobre d'un jeune opposant au barrage de Sivens, il devrait s'exprimer aussi sur le "dialogue environnemental", a dit Mme Royal. 

"Cette année, nous espérons que la parole de la société civile sera plus écoutée que d'habitude", souligne Benoît Hartmann, porte-parole de France Nature Environnement (FNE), le réseau associatif auquel appartenait le militant  tué lors d'affrontements avec des forces de l'ordre. Les membres de FNE arboreront un badge avec une renoncule, fleur que défendait leur jeune adhérent. 

 "Nous sommes extrêmement circonspects, car bien échaudés", ajoute M. Hartmann, rappelant la suspension de l'écotaxe poids lourds qui devait contribuer à financer les infrastructures de transport. 



François Hollande a-t-il vraiment des convictions écologistes ? La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour !

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La Belgique unie... dans la défense de la frite


Les autorités francophones et germanophones de Belgique ont décidé d'unir leurs efforts à ceux de leurs homologues flamandes pour défendre la "frite belge" et la faire inscrire par l'Unesco au patrimoine culturel de l'humanité. 


La Flandre, la région néerlandophone du nord du royaume où vivent quelque 6 des 11 millions de Belges, a inscrit depuis un an à la liste de son "patrimoine  immatériel" le très populaire plat de pommes-de-terre cuites dans de l'huile de  friture. 

La Communauté Wallonie-Bruxelles, l'instance politique qui représente les quelque 4,5 millions de francophones, ainsi que la petite Communauté germanophone, qui rassemble les 70.000 personnes parlant l'allemand dans l'est du pays, "s'apprêtent à faire de même", a indiqué le ministre wallon de l'Agriculture, René Collin, cité par l'agence Belga. 

Cette annonce intervient à quelques jours du lancement de la quatrième "semaine de la frite", qui aura lieu du 1er au 7 décembre et au cours de laquelle des "cornets de frites" seront distribués gratuitement dans les friteries, fritkots (en néerlandais) et autres baraques à frites du royaume. 

Le site www.semainedelafrite.be invite les Belges, sous le slogan "Tous ensemble pour notre frite belge!", à signer une pétition pour que leur snack préféré rejoigne les cuisines françaises et mexicaines, notamment, parmi les spécialités culinaires classées par l'Unesco, et que la frite belge rentre ainsi "dans l'Histoire". 

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