Un Airbus de Germanwings s'est écrasé dans les Alpes françaises

Le journal de 12h30

Selon le président François Hollande, les conditions du crash d'un Airbus de Germanwings dans les Alpes "laissent penser qu'il n'y aurait aucun survivant".

"L'avion est passé à basse altitude", explique un témoin

Un A320 s'est écrasé, ce mardi 24 mars, dans le massif de l'Estrop (Alpes de Haute-Provence) avec à son bord 142 passagers et 6 membres d'équipages. L'appareil aurait perdu progressivement de l'altitude, c'est en tout cas ce qu'a constaté Fabrice, un témoin.

La thèse de l'attentat n'est pas à exclure

Selon Christophe Naudin, spécialiste de la sûreté aérienne interrogé par RTL, "on ne peut pas écarter l'attentat aujourd'hui, parce que ça fait partie des hypothèses qui peuvent être retenues".

"C'est un endroit très difficile d'accès", dit David, un témoin de la scène

Un bruit intense, de la fumée et l'incompréhension. Interrogé par RTL, David raconte le moment de l'accident, dont il n'aperçoit que des volutes grises au loin. "On ne peut pas bien discerner avec les sommets partout autour", dit-il, alors que des nuées d'hélicoptères ne cessent de le survoler. "Il y en a plein en ce moment", ajoute-t-il.

"La météo était parfaite", selon un pilote qui volait dans la zone du crash

Gérard était à bord d'un petit avion dans la région située entre Digne et Seyne-les-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence) lorsque s'est écrasé un Airbus A320 de la compagnie aérienne allemande Germanwings ce mardi 24 mars. Il a donc participé aux recherches mais n'a vu ni fumée ni débris avant l'arrivée des secours.

Le journal de 13h

Suite au crash d'un Airbus A320 qui transportait près de 45 Espagnols, le roi Felipe VI a annoncé l'annulation de sa visite d'État en France.

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