Le journal de 18h : la prise de Palmyre par l'EI inquiète la communauté internationale

Alors que l'armée de Bachar al-Assad a battu en retraite dès mercredi soir, les jihadistes du groupe État islamique se sont emparés ce jeudi de la totalité de la cité antique de Palmyre, dans le Nord de la Syrie. Le contrôle de Daesh sur ce patrimoine culturel fait craindre pour le sort de ses célèbres ruines, inscrites au patrimoine mondial de l’Humanité de l’Unesco. Elles risquent ainsi de subir des destructions par les extrémistes.

Cette défaite de l'armée syrienne est inquiétante, tant sur le plan culturel que stratégique. L'avancée des jihadistes du groupe État islamique marque en effet un nouveau point dans leur bataille contre le régime syrien et suscite l'inquiétude pour ses trésors archéologiques. La cité de Palmyre, vieille de plus de 2.000 ans, revêt d'une importance stratégique pour l'EI puisqu'elle leur permet de progresser dans des secteurs clés détenus par le gouvernement, notamment vers Homs et Damas.

Par crainte de voir Palmyre subir le même sort que des sites archéologiques dans le nord de l'Irak, l'office des musées syriens a mis à l’abri certains de ces trésors archéologiques à Damas. Il y a une semaine, il a organisé plusieurs convois routiers afin de les faire sortir de la cité antique.

Une jeune femme exclue de l’école des greffes de Dijon pour anorexie

Delphine Mattin, originaire du Territoire de Belfort, a été exclue de l’école des greffes de Dijon en 2014, suite à son anorexie aiguë. Fille d’agriculteurs de Suarce, elle avait réussi le concours d'entrée de l'établissement, qui n'accordait qu'une centaine de places pour plus de 2.000 candidats. Mais ne pesant que 27kg pour 1,61m, elle a été renvoyée par l'administration au bout de trois semaines, suite à une expertise médicale.

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Aujourd'hui âgée de 22 ans, Delphine Mattin a surmonté sa maladie et pèse désormais 45 kilos. Elle a repris des études de droit à Besançon, mais a renoncé à une carrière dans la fonction publique. La direction de l’établissement, quant à elle, n'a pas souhaité s'exprimer sur cette affaire.

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- Lozère : après plusieurs années de gestion par l’ancienne municipalité, la ville de Marvejols est en faillite, avec près de 13 millions d'euros de dettes.