Invité de RTL, ce mardi soir, Jean Serrat est revenu sur le crash d'un Airbus A320 de la compagnie aérienne Germanwings. L'avion s'est écrasé ce matin dans les Alpes-de-Haute-Provence, faisant 150 morts.
L'ancien commandant de bord est intrigué par ce terrible accident. En effet, l'absence de message d'alerte de la part de l'équipage de l'Airbus est très étonnante et intrigante. De ce fait, il n'hésite pas à parler d'un crash "extraordinaire et terriblement suspect".
Il n'y a pas eu de signal radio et de code transpondeur lors du crash de l'A320. Donc, on est obligé de se dire qu'il y a quand même quelque chose de bizarre.
Jean Serrat, ancien commandant de bord
Par ailleurs, il a souligné que de nombreux aspects de la descente de l'appareil ne collent pas avec l'hypothèse d'une dépressurisation, d'un incendie dans la cabine ou d'un accident classique.
Les opérations de secours ont été interrompues pour la nuit à Seyne-les-Alpes, près du lieu du crash de l'Airbus A320 de Germanwings, une compagnie low-cost de la Lufthansa. Demain matin, une trentaine de gendarmes, de sapeurs et de CRS vont de nouveau être hélitreuillés sur le site pour poursuivre la recherche d'indices qui serviront à l'enquête judiciaire.
Par ailleurs, les opérations très délicates d'évacuation des corps des victimes, qui sont "très abîmés", pourront, peut-être, être lancées le même jour. Des médecins légistes et des anthropologues ont en effet été dépêchés sur place pour les identifier.
Jean-Christophe, le jeune agriculteur qui a mené les gendarmes à l'épave de l'A320 de Germanwings, décrit "les petits bouts qui restent de l'appareil".
On voit que l'avion a été pulvérisé est qu'il est parti en petits morceaux.
Jean-Christophe, un témoin du crash de l'A320 de Germanwings
Selon lui, l'avion se serait violemment écrasé comme s'il heurtait un mur, rendant ainsi impossible l'éventualité de retrouver des "corps entiers". Le jeune agriculteur a aussi exprimé le choc et l'émotion qu'il a ressenti en faisant face à cette horrible tragédie.
Matthieu Bourrette, procureur de la République de Vienne, a annoncé ce soir que le directeur d'école primaire de Villefontaine (Isère), a reconnu avoir violé au moins deux petites filles de six ans. Le quadragénaire était en garde à vue depuis lundi dernier après que deux parents, alertés par les déclarations de leurs filles, l'ont dénoncé.
Dans la commune iséroise, la stupéfaction est d'autant plus grande que l'enseignant a déjà été condamné pour pédopornographie en 2008. Le père d'une des victimes ne comprend pas que cet homme n'ait pu poursuivre dans l'enseignement malgré ses démêlés avec la justice.
Je trouve ça aberrant qu'il ait déjà été condamné pour des faits à peu près similaires et qu'il n'ait pas été rayé de l'Éducation nationale.
Le père d'une des victimes
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