Un nouveau rapport sur l'enseignement est remis en ce moment à Najat Vallaud-Belkacem, la ministre de l'Éducation. Il préconise, entre autres, une validation sur deux ans du brevet des collèges.
Des projets personnels seront développés en quatrième et en troisième. Les élèves ne passeront ensuite qu'une épreuve écrite globale et un examen oral en langue étrangère. Les quatre épreuves habituelles (français, mathématiques, histoire-géographie, histoire des arts) seraient dès lors supprimées. Ces nouvelles idées sont-elles séduisantes ?
Pour l'instant, ce n'est qu'un rapport qui sert de base à une réflexion, selon Philippe Tournier. Mais certaines idées sont intéressantes.
Techniquement, tout n'est peut-être pas possible.
Philippe Tournier, secrétaire général du SNPDEN-UNSA
Le secrétaire général du SNPDEN-UNSA estime que l'examen couperet de l'actuel brevet des collèges est peu à peu devenu un mini-bac. Cette réforme permettrait de mieux évaluer les élèves.
Les idées proposées ne
conviennent pas à Frédérique Rolet, la co-secrétaire générale du SNES-FSU. D'après elle, il y a effectivement trois épreuves écrites
actuellement au brevet des collèges ainsi que l'histoire des arts à
présenter à l'oral. Mais il existe également tout le contrôle continu.
On n'est pas du tout dans un examen qui serait tout ou rien pour les élèves. Il y a bien une prise en compte du travail qui a été fait tout au long de l'année.
Frédérique Rolet, co-secrétaire générale du SNES-FSU
co-secrétaire générale du SNES-FSUco-secrétaire générale du SNES-FSU
Bienvenue sur RTL
Ne manquez rien de l'actualité en activant les notifications sur votre navigateur
Cliquez sur “Autoriser” pour poursuivre votre navigation en recevant des notifications. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Pour vous désabonner, modifier vos préférences, rendez-vous à tout moment dans le centre de notification de votre équipement.
Bienvenue sur RTL
Rejoignez la communauté RTL, RTL2 et Fun Radio pour profiter du meilleur de la radio
Je crée mon compte