L'idée avait été lancée en septembre 2013 par la ministre
des Affaires sociales Marisol Touraine, lors de la présentation du budget de la
Sécurité sociale.
"Il y a un certain nombre de pays où l'on vous donne
exactement le nombre de pilules ou de cachets dont vous avez besoin",
avait-elle souligné, assurant que cette pratique permettait d'éviter
"qu'on se retrouve avec des armoires à pharmacie pleines de médicaments
qu'on ne consomme pas" ou "mal".
Selon elle, chaque Français conserve chez lui 1,5 kilo de
médicaments.
La mesure est plutôt bien accueillie par l'opinion - 83% des
Français estiment qu'elle peut réduire le gâchis.
Toutefois, certains syndicats de pharmaciens se montrent
plus réservés, à l'heure où la grogne monte contre le gouvernement qui
prévoit de libéraliser leur profession.
Invités du débat de RTL Midi : Gilles
Bonnefond, président de l'Union des Syndicats de Pharmaciens d'Officine et Dr
Pierre Souvet, cardiologue, Président de l'Asef, l’Association Santé Environnement
France.
C'est l’événement télé ce soir : le retour de l'émission "Koh-Lanta" sur TF1.
Un retour un peu particulier qui survient 18 mois après le décès d'un candidat en plein tournage lors de la dernière saison, et le suicide de son médecin.
Il s'agit cette année d'une "spéciale anciens", avec d'ex-candidats emblématiques, dont certains comptabilisent 3 ou 4 participations !
Allez-vous suivre l'émission "Koh-Lanta" comme avant ? La rédaction de RTL vous invite à voter et
donner votre avis à la question du jour !
C'est une pratique courante aux Etats-Unis par exemple, qui est en train de s'installer en France.
Quick ou KFC passent en effet au « free refill ».
Une expression anglaise pour définir la possibilité de se resservir à
volonté de boissons ou autres denrées dans les restaurants.
En France, on connaissait par exemple le carpaccio à volonté, mais dans les
fast-foods, il s’agit des sodas en libre-service.
Quels dangers pour la santé ? Faut-il interdire les sodas à volonté en
France ?
Le président français François Hollande est arrivé ce matin à Bagdad où il entend témoigner du soutien de la France au nouveau gouvernement irakien et préciser sa stratégie à l'encontre des jihadistes de l'État islamique (EI), a constaté un journaliste de l'AFP.
Son avion transporte 15 tonnes d'aide humanitaire devant être livrées à Erbil, dans le nord de l'Irak, ou il se rendra plus tard dans la journée, après avoir rencontré son homologue irakien Fouad Massoum et le Premier ministre Haïdar al-Abadi.
M. Hollande est accompagné du chef de la diplomatie Laurent Fabius et du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.
Onze ans après avoir refusé de suivre Washington et Londres dans l'invasion de l'Irak, la France tente ainsi de revenir sur le devant de la scène dans ce pays avec lequel elle a entretenu des liens historiques forts mais ambigus, sous le régime de Saddam Hussein - renversé par l'invasion américano-britannique de 2003.
Le Premier ministre Haïdar al-Abadi est à la tête d'un gouvernement de rassemblement approuvé lundi par le Parlement irakien même si plusieurs portefeuilles clés, dont la Défense et l'Intérieur, restent à pourvoir.
Nous attendons vos commentaires et vos avis. A vous de jouer !
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