Birmanie : "les fous de Bouddha" font campagne pour l'ex junte au pouvoir
REPLAY - Les moines bouddhistes vont jouer un rôle crucial dans les élections législatives du 8 novembre en Birmanie.
La Birmanie organise dimanche 8 novembre un scrutin historique. Lors des élections législatives les moines bouddhistes vont jouer un rôle déterminant dans ce pays secoués depuis 3 ans par de sanglantes violences inter-religieuses contre les Rohingyas, ces musulmans pourchassés alors qu'ils ne représentent que 4% de la population. L'envoyé spécial du Figaro a rencontré à Mandalay "les fous de Bouddha", des moines extrémistes et islamophobes ralliés à l'ex-junte militaire désormais au pouvoir.
Alcoolique, chômeurs, consanguins... mais pas lepennistes
Collectif de Nordistes "Les chicons en colère"
Dans la région Nord-Pas-de-Calais-Picardie un collectif citoyen, Les chicons en colère, fait campagne car il redoute une victoire du FN aux régionales. Le patronat prend aussi la plume. Bruno Bonduelle, l'ancien patron de Bonduelle désormais retiré des affaires, tire la sonnette d'alarme dans une tribune au journal économique régional Eco 121 intitulée "No pasaran". Il est "le patriarche qui a brisé le silence" écrit Le Monde, car pour l'instant aucun grand patron du Nord n'a parlé. Ils se sont toujours tenus volontairement éloignés de la politique.
Nicolas Sarkozy en colère
L'interview du jour, c'est celle de Nicolas Sarkozy en une du Parisien-Aujourd'hui en France. Il est "en colère" après l'apparition de son nom dans l'affaire Air cocaïne : "Qu'imagine-t-on ? Que j'étais a Punta Cana sur 700 kg de cocaïne ? Le pire, c'est que je n'ai jamais fumé de ma vie", dit-il. Pour le reste, le président des Républicains dégaine donc un plan sécurité, qui comprend plusieurs mesures, comme la création d'un grand ministère de la sécurité publique qui coordonnerait toutes les forces de l'ordre. Nicolas Sarkozy repasse aussi à l’offensive sur le terrain de la politique pénale, via son meilleur porte-parole, Brice Hortefeux dans les colonnes du Figaro.
Écrivain en lice pour le Renaudot, n'ayant eu à ce jour ni critique ni article de presse, cherche à rencontrer journalistes curieux.
Fabrice Guénier, écrivain en lice pour le prix Renaudot
Fabrice Guénier, son nom ne vous dit sans doute rien, pourtant il est en lice pour le prix Renaudot, attribué ce mardi 3 novembre, jour du Goncourt également. Il y a deux semaines, il a publié cette petite annonce dans Libé : "Écrivain en lice pour le Renaudot, n'ayant eu à ce jour ni critique ni article de presse, cherche à rencontrer journalistes curieux". Et ça a marché, depuis il a reçu 300 appels dont celui du Courrier picard, qui chronique ce matin son livre publié chez Gallimard : "Ann".
Vous n'aimez pas ce chocolat ? Goûtez encore...
Dans Les Échos, on peut lire qu'une campagne de Ferrero casse les codes. C'est la première fois qu'une marque admet qu'on ne peut pas aimer ses propres produits. Ferrero a décidé de s'adresser à ceux qui détestent les Mon Chéri depuis des années, via la bouche d'Anne Roumanoff, pour leur dire que les goûts évoluent avec l'âge.
