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Le ministère de l'Économie et des Finances, communément appelé "Bercy"
Crédit : ERIC PIERMONT / AFP
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En déplacement en début de semaine à Amiens, Emmanuel Macron s'est vivement défendu de mener une politique pour les riches, comme le lui reprochent régulièrement ses adversaires, mettant en avant les différentes mesures du gouvernement en faveur des classes moyennes et des "plus fragiles". Le même jour, les députés La République En Marche étaient exhortés à "corriger le déséquilibre" par des députés socialistes.
Les réformes sont-elles vraiment favorables aux plus aisés ? "C'est difficilement contestable", répond François Lenglet. Le journaliste, chroniqueur sur RTL, note que "le gros des baisses d'impôts de 2018 va aux 1% des contribuables les plus fortunés". S'il concède que cela relève d'une "finalité économique" ("libérer l'investissement, selon le pari libéral classique"), il constate que "la concomitance avec une réforme du travail largement inspirée de demandes patronales donne un sentiment politique trop marqué".
Une vision que ne partage pas Agnès Verdier-Molinié, la directrice de la Fondation iFRAP estimant qu'il faudrait "faire plus". À ses yeux, nous ne faisons "qu'un petit bout du chemin qui nous rapproche des Allemands" en matière de prélèvement des revenus du capital. Elle avertit : "Nous avons un modèle social de luxe, on ne pourra pas le payer avec des petits boulots dans des petites boîtes qui n'exportent pas".
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