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DIAPORAMA - Élection présidentielle : les Français de l'étranger ont voté

Quelques heures avant l'ouverture des bureaux en métropole, plus d'un million de Français installés à l'étranger ont voté.

  • À Washington, un électeur sort de l'isoloir à l'ambassade de France

    Crédits : Brendan Smialowski / AFP

  • Des électeurs français attendent de voter à Tokyo (Japon)

    Crédits : Behrouz MEHRI / AFP

  • Il fallait être patient pour voter à Montreal (Canada)

    Crédits : Graham Hughes/AP/SIPA

  • Des expatriés français au consulat de France à Hong-Kong (illustration)

    Crédits : TENGKU Bahar / AFP

  • En Indonésie aussi les Français glissent leur vote dans l'urne.

    Crédits : SONNY TUMBELAKA / AFP

Eléanor Douet & AFP

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Si les bureaux de vote en métropole ont ouvert à 8 heures dimanche 23 avril, les Français de l'étranger ont pu se rendre aux urnes plusieurs heures avant. De New York, à Tokyo, en passant par Buenos Aires, ces électeurs représentent 2% du corps électoral français, soit 1,3 million à être inscrits sur les listes consulaires à l'étranger.

Dans plusieurs de villes, on a pu observer des files d'attente s'étendant sur plusieurs centaines de mètres. Ainsi à Montréal, les électeurs devaient prendre leur mal en patience sur les 1,5 km de queue. À Hong-Kong, certains ont dû attendre une heure avant de pouvoir voter, comme à Tokyo, où l'attente a parfois duré près de deux heures avant d'entrer dans l'ambassade.

Aux États-Unis, il est possible de voter dans plusieurs villes : New York, Washington, Miami, Boston ou encore Los Angeles. Déçus d'une campagne brouillée par "les affaires", les Français installés en Amérique ont avant tout cherché à voter utile, samedi, 24 heures avant leurs compatriotes de la métropole pour le premier tour.

"C'est notre devoir de citoyen qu'on continue ici", estime Adrien Gontier, flanqué d'un béret noir, à la sortie de l'ambassade de France à Washington, transformée pour l'occasion en bureau de vote. "Et puis on est aux États-Unis, on a vu ce que ça donnait de ne pas voter ou de voter mal. Donc on ne voudrait pas qu'il y ait de (Donald) Trump en France", explique cet Alsacien expatrié dans la capitale américaine, dans une référence à peine masquée à Marine Le Pen. 

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