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Photo prise dans le Data Center de Facebook, le 7 novembre 2013, à Luléa, en Suède.
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Peu après l'attentat qui a fait douze morts dans les locaux de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, Mark Zuckerberg, patron de Facebook, avait déclaré "Je suis Charlie". Mais la compagnie américaine a accepté, selon la BBC, de censurer des images représentant le prophète Mahomet, contrastant fortement avec le discours pro-liberté d'expression de son patron.
"Facebook a toujours été un endroit où on peut exprimer librement ses opinions et ses idées (...). Je suis dédié à la construction d'un service où on peut discuter librement sans crainte de violence", avait notamment déclaré le patron emblématique de la firme.
Les tribunaux turcs avaient menacé Facebook de fermeture dans son pays, qui comprend 40 millions d'utilisateurs, si les pages contenant des "insultes" à l'image du prophète Mahomet n'étaient pas interdites. Facebook a donc semble-t-il accepté et n'en est pas à son premier cas de censure compliqué. La question du degré de censure à appliquer pose problème, et varie en fonction du droit local des pays. L'Inde, le Pakistan et la Turquie constituent la majorité des pays concernés par la suspension de contenus.
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