La ville de Raqqa en Syrie est toujours fermée aux civils. Daesh a dû abandonner sa position dans ce point stratégique le 17 octobre. Si de nombreux combattants ont fui, l'envoyé spécial sur place pour RTL a rencontré des femmes de jihadistes emprisonnées. Elles sont pour la plupart étrangères et attendent de savoir quel sort leur est réservé.
Une femme de Raqqa témoigne et décrit comment une femme française, venue faire le jihad, s'était installée à côté de chez elle. "Elle m'a dit qu'elle avait quitté la France parce qu'elle était recherchée par la police et que sa famille ne savait pas qu'elle était à Raqqa", confie l'habitante de la ville libérée avant d'ajouter, "parfois elle ne portait même pas son voile, elle fumait des cigarettes, elle a finit par fuir son mari, je n'ai plus eu de nouvelles."
Dans un camps de réfugiés situé plus au Nord de Raqqa, où environ 25.000 personnes sont dans l'attente de pouvoir retourner en ville, des femmes étrangères de jihadistes de Daesh sont emprisonnées. Et pour certains la proximité avec elles est difficile, "ces femmes on ne pourra jamais leur pardonner, après ce que l'on a enduré, on ne sait pas de quoi elles sont capables", témoigne une femme réfugiée dans le camp.
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