Attention, sujet sensible. L'avortement fait (malheureusement) à nouveau débat dans la société. Un journal médical américain vient de dévoiler une étude sur les séquelles psychologiques de l'interruption volontaire de grossesse (ou IVG) sur les femmes. Et, n'en déplaise à certains, cette pratique n'aurait finalement pas, selon cette étude, de conséquences négatives à long terme pour les patientes.
Car si le débat fait rage, aucune preuve n'avait été établie sur les conséquences de cette pratique. L'avortement n'est évidemment pas une pratique anodine, mais cette étude met en avant des éléments concrets. JAMA Psychiatry, publie l'enquête réalisée par des chercheurs de Californie, qui ont étudié un panel de 956 femmes, dans 21 pays différents et sur une période de 5 ans.
La conclusion de cette étude est simple : "Nier la solution de l'avortement a plus de conséquences psychologiques pour la femme que d'interrompre sa grossesse", selon le Dr. Diana Green Foster, la co-auteure de l'étude, dans une interview accordée au New York Magazine. Il est cependant impossible de généraliser ce résultat à toutes les femmes. Dr. Foster explique que le traumatisme post-avortement est atténué dans les semaines qui suivent l'IVG, et disparaissent après six mois, en moyenne.
Pour tout renseignement supplémentaire sur l'IVG, vous pouvez consulter le site officiel du gouvernement français.
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