Une fan de Nabilla en pleurs dans une vidéo et l'affaire Jouyet-Fillon au crible de l'humour
CLIC À LA UNE - Une jeune femme a publié sur YouTube une vidéo dans laquelle elle défend ardemment, larmes aux yeux, son héroïne Nabilla.
Personne ne peut échapper à l'affaire Nabilla. Depuis son célèbre "Non mais allo, t'es une fille t'as pas de shampoing", les réseaux sociaux sont tombés sous le charme tout particulier de cette bimbo qui sait si bien jouer de sa naïveté et de sa personnalité un tantinet bling-bling pour atteindre la célébrité.
Déjà dans l'émission, "Les Anges de la téléréalité" ou dans son propre show "Allo Nabilla", elle se hissait en tête des sujets les plus commentés sur les réseaux sociaux. Alors, lorsque l'information est révélée vendredi matin qu'elle est accusée d'avoir poignardé son petit ami Thomas, les réseaux sociaux se sont littéralement enflammés. Vendredi, samedi, dimanche et encore aujourd'hui lundi, Nabilla reste le sujet le plus discuté sur Facebook, Twitter et toute sorte de réseaux sociaux. Trois hashtags, trois mots-clef sont là et restent en tête des tendances : #Nabilla, #NabillaGAV (pour garde à vue) et #FreeNabilla (libérez Nabilla).
Une vraie guerre s'installe entre les internautes qui ont déjà jugé et condamné Nabilla et ceux qui la défendent bec et ongles, comme dans ce petit témoignage d'une fan de Nabilla en pleurs sur YouTube face aux critiques des Internautes.
On ne sait pas trop s'il s'agit d'une internaute véritablement sincère ou si elle essaye de "faire le buzz", mais toujours est-il que ça peut rappeler ceci.
"Laissez Britney (Spears) tranquille", le cri de désespoir d'un fan qui ne supportait pas que son idole pop soit la risée du web. Encore une fois, il s'agissait d'un canular, un "fake" comme on dit sur Internet. Chris Crocker, le jeune homme de la vidéo, a avoué plus tard qu'il ne s'agissait que d'une performance.
Pour en revenir à Nabilla, vous pouvez rejoindre les pro-Nabilla en suivant le mot-clef #FreeNabilla, #TeamNabilla ou encore des pages Facebook qui poussent comme des champignons.
Vous pouvez même aller sur FreeNabilla.fr pour acheter des t-shirts. Comptez 25 euros par pièce.
Plus qu'un fait divers, cette histoire se transforme en véritable petit business.
