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Orchestra, une success-story à la française

Le groupe Orchestra, fondé par le Montpelliérain Pierre Mestre, devient le leader mondial de la mode pour enfant.

Marie Guerrier
Marie Guerrier & La rédaction numérique de RTL
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Pierre Mestre, 53 ans, est le patron de la marque de vêtements pour enfant Orchestra. Inconnu du public, ce Montpelliérain est pourtant devenu un géant aujourd'hui. Son entreprise, déjà leader de son secteur en Europe, rachète l'américain Destination Maternity et pour devenir le premier groupe mondial de la mode pour enfant, pour les futures mamans et la puériculture, rapportent Les Échos et Le Figaro Économie. Malgré son nouveau statut de leader mondial, le siège d'Orchestra va rester dans l'Hérault.
 
De 640 magasins, le groupe va passer à 2000 points de vente, pour plus d'un milliard de dollars de chiffre d'affaires. Ce sont dans les pages de Midi Libre que l'on peut découvrir le début de l'histoire. En 1995, Pierre et Chantal Mestre vendaient des vêtements pour enfant rue de la Loge à Montpellier. Pierre Mestre décide de créer sa marque, Orchestra, et son bébé connaît une croissance fulgurante, en avalant d'autres marques comme Prémaman, Baby2000, Autour de bébé. Orchestra est désormais coté en bourse à Paris et bientôt à New York.

Le tragique de répétition interroge après l'attentat de Berlin

Comment vivre la menace permanente ? Sommes-nous en train de nous habituer ? La presse s'interroge après la nouvelle attaque terroriste qui endeuille l'Europe. "Ce serait donner une victoire aux terroristes que d'installer le règne de la peur", écrit François Ernenwein dans La Croix. Et il cite la chancelière allemande : "nous allons trouver la force de continuer de vivre libres, tous ensemble et dans un esprit d'ouverture".
 
"Après Berlin, les Européens se doivent d'être enfin unis et efficaces", estime Arnaud de la Grange dans Le Figaro. Dans ce même quotidien, le ministre de l'Intérieur Bruno Le Roux signe une tribune intitulée : "la lutte contre le terrorisme, défi de notre génération". "La France et l'Allemagne, énonce le ministre, vont défendre ensemble auprès de leurs partenaires européens un renforcement de la coopération entre les services de sécurité de chaque pays, un meilleur partage de l'information grâce à l'interconnexion renforcée des fichiers antiterroristes".
 
"Nous ne devons pas nous habituer à l'horreur !", s'écrie de son côté Donat Vidal Revel dans Le Parisien - Aujourd'hui en France. Un peu plus loin, en page 5 du journal, le psychiatre Serge Tisseron explique "qu'il est normal qu'il y ait moins d'émotion aujourd'hui" qu'après les premiers attentats qui ont touché Paris". "La surprise est passée. Mais, ajoute-t-il, ce serait dommage que la compassion pour les victimes et la volonté d'agir passent avec elle".Dans Sud Ouest, Christophe Lucet constate qu'à ce jour, "aucun marché de Noël n'a été annulé ou fermé, et c'est tant mieux". "Une fois prises les mesures visibles et invisibles, il est bon, écrit l'éditorialiste, que tout un chacun puisse déambuler, siroter un vin chaud, se réjouir des retrouvailles de famille, bref de s'abstraire d'une sombre actualité pour se tourner vers les lumières de Noël".

Un coup d'oeil dans le rétroviseur avant une année présidentielle

Dans son double numéro qui court jusqu'au 3 janvier prochain, L'Express balaie 50 ans d'histoire et de secrets de campagnes présidentielles de 1965 à 2012. En 2007, au matin du débat de l'entre-deux tours Cécilia Sarkozy annonce à Nicolas Sarkozy qu'elle va demander le divorce. À quelques minutes de l'antenne, enfermé dans les toilettes, au téléphone, il la supplie de réfléchir encore, alterne prière et colère, avant de s'installer sur le plateau avec cette enclume qui lui comprime la poitrine. En face, Ségolène Royal aussi a le cœur en miettes. "La candidate socialiste entretient le mensonge sur son couple avec François Hollande", raconte L'Express. Le soir venu, une voiture quitte son QG pour rentrer à son domicile. Le plus souvent, le véhicule est vide. La candidate s'est aménagé une chambre cachée, à l'insu de sa propre équipe, dans son local de campagne où s'éternisent des nuits sans sommeil.
 
À lire aussi, les souvenirs de Marie-France Garaud : candidate en 1981, c'était seulement la deuxième femme à se lancer après Arlette Laguiller. L'ancienne conseillère de Jacques Chirac avait reçu comme conseil pour éviter les pièges de la campagne et parer les coups : "Marie France, vous levez les pieds pour les ficelles, vous baissez la tête pour les couteaux, et surtout vous riez tous les jours. Et quand vous ne savez pas de quoi rire, riez de vous : c'est un sujet inépuisable !" L'ancienne candidate, qui a désormais 82 ans, confie : "nous étions là pour défendre nos idées et nous nous sommes amusés..."

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