Le 25 août dernier, disparaissait Sonia Rykiel, couturière, créatrice et designer de la maison de couture Sonia Rykiel. Surnommée "la reine du tricot", elle avait fait l'apologie des rayures dans le textile, mais aussi du noir ou de la maille.
Plusieurs semaines après la disparition de sa mère, Nathalie Rykiel décrit la relation qu'elle entretenait avec elle comme "une relation très particulière, probablement trop mais juste assez pour nous". Elle va même jusqu'à dire que cette relation "aurait pu être invivable et s'est révélée être quelque chose d'absolument fantastique parce qu'on s'est nourrie l'une de l'autre et qu'on ne s'est pas empêché de vivre nos vies".
Si elle affirme être "très entourée" depuis ces dernières semaines, celles qui ont succédé le décès de Sonia Rykiel, elle revient sur la période précédant cette perte : "Elle s'est battue comme une lionne jusqu'à ce que la maladie prenne le dessus", dit Nathalie Rykiel avec émotion. "Ça a été une fin de vie absolument horrible", se rappelle-t-elle même.
J'ai choisi de rester et je ne l'ai jamais regretté
Nathalie Rykiel
De sa mère, Nathalie Rykiel estime qu'elle a "incarné une époque, la liberté, l'érotisme, la sensualité, une façon d'être femme, de ne renoncer à rien, et toujours dans un mouvement de séduction et d'amour avec les hommes." Pour elle, avoir une mère comme Sonya Rykiel signifiait d'avoir deux choix : "rester ou partir". Finalement, "j'ai choisi de rester et je ne l'ai jamais regretté. Ça m'a juste pris plus de temps pour être moi-même", dit-elle.
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