Le Journal de 19h : les pistes envisagées après le double attentat en Turquie

L'heure est aux questions en Turquie. Le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu a affirmé que les explosions étaient le fait de deux kamikazes; il a également indiqué qu'aucune revendication ne lui était pour l'heure parvenue. Mais il a cité trois organisations capables de commettre un tel attentat: les rebelles du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), le groupe jihadiste Etat islamique (EI) et le Parti/Front révolutionnaire de libération du peuple (DHKP-C) d'extrême gauche. Les spécialistes, eux, n'écartent pas une implication de l'Etat turc.

A écouter également dans ce journal

- Les motards en colère contre la loi de transition énergétique, elle permet aux grandes villes d'interdire la circulation dans le centre-ville des deux roues. Ils étaient au moins 500 à manifester à Marseille, 1.000 à Lille, plus de 2.000 à Lyon et 2.500 à Caen. 

- Une mobilisation réussie contre la réforme du collège, près de 8.000 personnes ont défilé dans toute la France selon la police, le double selon les organisateurs. 

- Un garçon de 8 ans a été libéré cette semaine par la police de Mulhouse, après avoir été séquestré et privé d'école pendant trois ans par son père, maintenant incarcéré.

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- La circulation des TGV entre Bordeaux et Angoulême, et entre Paris et Angoulême, a repris progressivement samedi à partir de 17h, après une interruption d'un peu plus d'une heure, en raison d'une suspicion de fuite toxique dans un train de marchandises en gare d'Angoulême.