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La généalogie intéresse les Français mais leur semble une tâche ardue

REPLAY - Découvrez les sujets qui seront abordés dans l'émission "Les auditeurs ont la parole".

La généalogie est une passion pour beaucoup de Français
Crédit : DR
Les auditeurs du 06/03/2015
00:28:50
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La généalogie intéresse les Français mais leur semble une tâche ardue

La généalogie intéresse un grand nombre de Français même si la quête des origines leur semble une tâche ardue, indique un sondage réalisé par Opinionway pour Généalogie.com publié aujourd'hui.
  
Près de neuf Français sur 10 (87%) sont intéressés par la généalogie. Un sur deux (51%) a déjà fait des recherches sur sa famille, dont un tiers sur internet, et 57% déclarent qu'un membre de leur famille a déjà fait des recherches généalogiques.
  
Mieux connaître ses ancêtres, comprendre ses origines, transmettre l'histoire familiale aux générations futures... tout cela motive l'apprenti généalogiste. Pour trois quarts des Français, la généalogie c'est une quête de sens et un devoir de mémoire.
  
Mais si la quête des origines intrigue, celle-ci apparaît difficile voire très difficile à 85% des sondés. L'ampleur de la tâche (67%), la difficulté d'accès aux documents (65%) et le manque de temps (58%) agissent comme autant de repoussoirs.
  
En attendant de sauter éventuellement le pas et de partir à la découverte de leurs ancêtres, les Français ont la mémoire courte: plus de 4 sondés sur 10 (42%) sont incapables de donner le nom et le prénom d'un de leurs arrière-grands-parents.


Le succès de la généalogie : les Français en quête de sens ?

Invités du débat de RTL Midi : Jean-Louis Beaucarnot, conseiller à la rédaction de la Revue française de généalogie et Wilfried, 15 ans, l'un des plus jeunes "généablogueurs" de France.

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Sexisme au travail: un tabou marqué par une dose de déni

Le sexisme au travail, qu'il soit frontal du type "les femmes doivent rester à la maison", passe par un humour graveleux ou survienne via une forme de bienveillance néfaste, reste un tabou marqué par une dose de déni, souligne un rapport rendu public aujourd'hui.
  
Le document du Conseil supérieur de l'égalité professionnelle (CSEP) remis à la ministre des Affaires sociales Marisol Touraine à la veille de la Journée internationale de la femme rappelle les résultats d'une enquête de 2013 à laquelle quelque 15.000 salariés ont répondu.
  
Celle-ci montrait que 80% des femmes salariées sont régulièrement confrontées à des attitudes ou des décisions sexistes. Huit femmes sur dix et autant d'hommes interrogés ont notamment été témoins de blagues sur les femmes et 50% des femmes en ont été la cible.
  
Or, ce sexisme, "qui fonctionne comme un redoutable instrument d'exclusion des femmes de la sphère professionnelle et leur signifie qu'elles ne sont pas à leur place", a des répercussions sur la confiance en soi, la performance et le bien-être au travail: 93% des femmes salariées estiment que cela peut amoindrir leur sentiment d'efficacité.

Y a-t-il du sexisme dans votre entreprise La rédaction de RTL vous invite à voter et donner votre avis à la question du jour.

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Sivens: le conseil général du Tarn doit mettre fin à une tension exacerbée

Le conseil général du Tarn a commencé à débattre aujourd'hui des solutions de remplacement au projet de barrage de Sivens, si polémique que 300 gendarmes ont eu du mal à éviter cette semaine les affrontements entre pro et antibarrage.
  
Le président de l'assemblée Thierry Carcenac a annoncé dès l'ouverture de la séance, à 09h50, que le conseil général acceptait de "redimensionner le projet initial" que la ministre de l'Ecologie Ségolène Royal a jugé surdimensionné. Il a aussi réaffirmé sa volonté que l'Etat "procède à l'expulsion des occupants".
  
Les quarante zadistes qui occupent le site, comme les 200 agriculteurs de la FNSEA qui les assiègent depuis une semaine, s'attendent à une expulsion imminente des occupants par les gendarmes mobiles.
  
La ministre de l'Ecologie Ségolène Royal puis le Premier ministre Manuel Valls ont en effet réaffirmé qu'après le choix du conseil général "il faudra(it) très vite évacuer les lieux".

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